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Fin de Freddy... L'ultime Cauchemar (Freddy's Dead: The Final Nightmare)

É.-U. 1991. Drame d'horreur de Rachel Talalay avec Robert Englund, Lisa Zane, Shon Greenblatt. Une psychologue hantée par de terrifiants cauchemars impliquant un spectre meurtrier s'engage dans un combat singulier avec ce monstre. Recettes habituelles agrémentées de quelques éléments parodiques. Rythme alerte. Effets convenus. Interprétation moyenne.

13 ans + (violence, horreur)
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Fin de Freddy... L'ultime Cauchemar (Freddy's Dead: The Final Nightmare)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 1991. Drame d'horreur de Rachel Talalay avec Robert Englund, Lisa Zane, Shon Greenblatt.

Une psychologue hantée par de terrifiants cauchemars impliquant un spectre meurtrier s'engage dans un combat singulier avec ce monstre. Recettes habituelles agrémentées de quelques éléments parodiques. Rythme alerte. Effets convenus. Interprétation moyenne.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
John, un adolescent amnésique, est en proie à de terrifiants cauchemars habités par le spectre meurtrier de Freddy Krueger. Recueilli par un centre d'aide aux jeunes, il fait la connaissance d'une psychologue, Maggie, qui est hantée par des rêves similaires. Intrigués, Maggie et John se rendent à Springwood, la ville natale de Krueger, où tous les adolescents sont morts. Maggie découvre alors qu'elle est la fille légitime de Krueger. Aidée par un ami psychiatre et Tracey, une jeune délinquante du centre, elle s'engage dans un combat singulier avec le monstre des cauchemars.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Annoncé comme l'ultime volet de la série, ce sixième chapitre n'apporte rien de neuf, sauf peut-être quelques éléments de parodie assez amusants. La réalisatrice, dont c'est le premier film, cherche en vain à renouveler le personnage de Krueger. Bien que sa mise en scène aille bon train, déployant tous les effets convenus du genre, avec en prime une séquence 3-D illustrant le fameux cauchemar final, sa technique manque cependant de précision et ne contribue guère à l'amélioration d'un produit condamné à la redite. L'interprétation ne casse rien, mais Robert Englund a l'occasion de montrer son vrai visage.

Texte : André Caron

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