Fievel au Far West (An American Tail: Fievel Goes West)

Name: Fievel au Far West
Director: Phil Nibbelink, Simon Wells
Genre: Film d'animation
Duration: 80 min.

É.-U. 1991. Film d'animation de Phil Nibbelink, Simon Wells . Une famille de souris vivant à New York décide de se joindre à un groupe de rongeurs en partance pour le Far West. Parodie inventive des westerns. Nombreux gags visuels ingénieux. Animation pétillante. Technique fort soignée.

Fievel au Far West (An American Tail: Fievel Goes West)

Général

É.-U. 1991. Film d'animation de Phil Nibbelink, Simon Wells .

Une famille de souris vivant à New York décide de se joindre à un groupe de rongeurs en partance pour le Far West. Parodie inventive des westerns. Nombreux gags visuels ingénieux. Animation pétillante. Technique fort soignée.

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Genre :

Film d'animation

Année :

1991

Durée :

80 min.

Réalisation :

Phil Nibbelink
Simon Wells

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Les Mousekewitz, une famille de souris ayant émigré de Russie, survivent tant bien que mal à New York où elles sont fréquemment menacées par les chats du quartier. C'est pourquoi elles décident de quitter la ville pour se joindre à un groupe de souris en partance pour le Far West. Dans le train, le petit Fievel découvre que des chats projettent de tendre un piège aux souris une fois rendues à destination. Malheureusement, Fievel est séparé du groupe avant de pouvoir alerter les siens. Il traverse seul le désert et retrouve par hasard son vieil ami Tiger, un chat végétarien. Aidé par ce dernier ainsi que par un shérif héroïque, le chien Wylie, Fievel parvient à contrecarrer le plan des chats.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les charmantes petites souris russes de AN AMERICAN TAIL font ici l'expérience, d'un phénomène on ne peut plus américain: le western. Le prologue, situé à New York, ouvre le bal a un rythme d'enfer qui se maintient jusqu'à la fin. Le tout est parsemé de gags visuels ingénieux et l'anthropomorphisme inhérent au genre est traité avec un esprit inventif. L'intrigue est en soi plutôt mince et sert surtout de prétexte à une suite de scènes courtes et enlevées dont certaines constituent en elles-mêmes des mini-cartoons souvent dignes des "Tom and Jerry". Il en résulte une animation plus pétillante que somptueuse. Techniquement, l'ensemble demeure fort soigné.

Texte : Martin Girard

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