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Faut pas dire à maman que la gardienne mange les pissenlits par la racine (Don't Tell Mom the Babysitter's Dead)

Jeudi 02 Mai à 10:55 | Cinépop

É.-U. 1991. Comédie dramatique de Stephen Herek avec Christina Applegate, Keith Coogan, Joanna Cassidy. Quand sa gardienne meurt d'une crise cardiaque, l'aînée de cinq frères et soeurs se sert d'un faux curriculum vitae pour décrocher un poste d'adjointe de direction dans une grande firme. Récit tiré par les cheveux. Ensemble plutôt usé. Réalisation menée avec une certaine assurance. Interprétation honnête.

Général
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Faut pas dire à maman que la gardienne mange les pissenlits par la racine (Don't Tell Mom the Babysitter's Dead)

Général Général

É.-U. 1991. Comédie dramatique de Stephen Herek avec Christina Applegate, Keith Coogan, Joanna Cassidy.

Quand sa gardienne meurt d'une crise cardiaque, l'aînée de cinq frères et soeurs se sert d'un faux curriculum vitae pour décrocher un poste d'adjointe de direction dans une grande firme. Récit tiré par les cheveux. Ensemble plutôt usé. Réalisation menée avec une certaine assurance. Interprétation honnête.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Lorsque leur mère part en Australie pour plusieurs semaines durant l'été, une adolescente Sue Ellen, et ses quatre frères et soeur sont laissés sous la surveillance d'une gardienne particulièrement sévère, mais qui meurt bientôt d'une crise cardiaque. Les enfants se débarrassent du corps sans juger nécessaire d'alerter leur mère, même s'ils se retrouvent sans le sou. Grâce à un faux curriculum vitae, l'aînée devient l'adjointe à la directrice d'une firme de confection d'uniformes. Malgré elle, Sue Ellen s'attire l'animosité d'une réceptionniste qui se trouve être la soeur d'un jeune livreur dont elle est tombée amoureuse.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Malgré ce que peut laisser supposer le titre, l'épisode concernant la mort de la gardienne n'est qu'un prétexte anecdotique dans cette histoire qui concerne plus le succès d'une adolescente dans les hautes sphères directionnelles. Malgré toute la conviction dont tente de faire preuve la jeune Christina Applegate, il demeure difficile de croire à ce récit tiré par les cheveux. Tout cela sort d'un moule usé où règne en maître la démagogie envers le jeune public auquel le film s'adresse. L'ensemble est néanmoins mené avec une certaine assurance et l'interprétation est plutôt honnête.

Texte : Martin Girard

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