Buster's Bedroom

Name: Buster's Bedroom
Director: Rebecca Horn
Genre: Drame
Duration: 104 min.

All. 1991. Drame de Rebecca Horn avec Donald Sutherland, Amanda Ooms, Geraldine Chaplin. Une étudiante obsédée par Buster Keaton connaît diverses mésaventures en visitant l'asile psychiatrique où celui-ci a fait un bref séjour en 1930. Scénario cahoteux. Ton absurde et surréaliste mal soutenu par la mise en scène. Rythme lourd. Traitement insuffisamment inventif. Comédiens mal à l'aise.

Buster's Bedroom (Buster's Bedroom)

Général

All. 1991. Drame de Rebecca Horn avec Donald Sutherland, Amanda Ooms, Geraldine Chaplin.

Une étudiante obsédée par Buster Keaton connaît diverses mésaventures en visitant l'asile psychiatrique où celui-ci a fait un bref séjour en 1930. Scénario cahoteux. Ton absurde et surréaliste mal soutenu par la mise en scène. Rythme lourd. Traitement insuffisamment inventif. Comédiens mal à l'aise.

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Genre :

Drame

Année :

1991

Durée :

104 min.

Réalisation :

Rebecca Horn

Pays :

Allemagne
Canada
Portugal

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Donald Sutherland
Amanda Ooms
Geraldine Chaplin

Micha, une jeune étudiante obsédée par Buster Keaton, décide de visiter la clinique psychiatrique où celui-ci a fait un bref séjour en 1930. Ce qu'elle ignore, c'est qu'avec l'assentiment de ses pairs, un malade, O'Connor, y a pris la place du directeur récemment décédé. Renversée par une voiture devant l'établissement, Micha est aussitôt prise en charge par le prétendu médecin qui en fait sa nouvelle patiente. L'engouement que suscite la jeune fille provoque la jalousie de Diana, une ivrogne clouée sur une chaise roulante qui, jusque-là, était la confidente d'O'Connor.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Un fait divers de la vie du célèbre acteur-réalisateur sert de prétexte bien mince pour emmener le spectateur sur une toute autre piste, largement inspirée de la nouvelle "The System of Doctor Tarr and Professer Feather" d'Edgar Allan Poe. Le ton théâtral et parfois absurde de l'ensemble n'est absolument pas soutenu par une mise en scène quasiment absente. La réalisatrice n'a visiblement ni le sens du rythme ni l'invention voulue pour rendre tout le surréalisme de la situation, si bien que le film se poursuit avec lourdeur au long d'un scénario cahoteux. De talentueux comédiens semblent quelque peu perdus dans cette entreprise manquée.

Texte : Christian Depoorter

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