Beethoven

Name: Beethoven
Director: Brian Levant
Genre: Comédie
Duration: 87 min.

É.-U. 1991. Comédie de Brian Levant avec Charles Grodin, Bonnie Hunt, Dean Jones. Ayant échappé à un docteur qui voulait l'utiliser dans de criminelles expériences, un saint-bernard trouve refuge chez une famille accueillante. Comédie archi-conventionnelle. Intrigue d'une extrême minceur. Nombreux temps morts. Mise en scène relâchée. Interprétation plus sympathique que talentueuse.

Beethoven (Beethoven)

Général

É.-U. 1991. Comédie de Brian Levant avec Charles Grodin, Bonnie Hunt, Dean Jones.

Ayant échappé à un docteur qui voulait l'utiliser dans de criminelles expériences, un saint-bernard trouve refuge chez une famille accueillante. Comédie archi-conventionnelle. Intrigue d'une extrême minceur. Nombreux temps morts. Mise en scène relâchée. Interprétation plus sympathique que talentueuse.

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Genre :

Comédie

Année :

1991

Durée :

87 min.

Réalisation :

Brian Levant

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Charles Grodin
Bonnie Hunt
Dean Jones

La vie de la famille Newton change du tout au tout le jour où le saint-bernard du nom de Beethoven entre dans leur vie. Ayant réussi à échapper aux sbires du docteur Varnick qui ont tenté de le voler dans une animalerie pour l'utiliser dans de criminelles expériences, l'encombrant cabot a trouvé refuge dans la belle maison des Newton. Cédant aux demandes de ses trois enfants, George Newton accepte de garder la bête jusqu'au moment où son propriétaire viendra la réclamer. Mais Beethoven se sent bien dans sa nouvelle demeure et grandit dans l'incroyable remue-ménage que constitue chacun de ses déplacements. Entretemps, le sinistre docteur Varnick ne semble pas avoir dit son dernier mot.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Visiblement destinée à un public enfantin, cette petite comédie routinière suit une progression dramatique archi-conventionnelle, d'où l'originalité et la surprise sont totalement absentes. Une intrigue, dont l'extrême minceur des péripéties n'accroche guère l'intérêt, est entrecoupée par une longue suite de saynètes éparpillées visant à illustrer les rapports entre une famille, pur produit de l'American Way of Life, et leur brave toutou balourd. De nombreux temps morts ponctuent une mise en scène menée sans rigueur qui s'étire platement entre la sentimentalité facile et le gag souvent éculé. Les interprètes démontrent plus de sympathie que de talent.

Texte : Christian Depoorter

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