Beaucoup, passionnément, à la folie (Truly, Madly, Deeply)

Name: Beaucoup, passionnément, à la folie
Director: Anthony Minghella
Genre: Drame fantastique
Duration: 107 min.

G.-B. 1991. Drame fantastique de Anthony Minghella avec Juliet Stevenson, Alan Rickman, Bill Paterson. Une jeune traductrice a la surprise de voir réapparaître en chair et en os son défunt mari revenu d'outre-tombe. Traitement subtil d'un sujet familier. Éléments fantastiques abordés avec désinvolture et ironie. Réalisation sobre et parfois inventive. Jeu assez émouvant de J. Stevenson.

Beaucoup, passionnément, à la folie (Truly, Madly, Deeply)

Général

G.-B. 1991. Drame fantastique de Anthony Minghella avec Juliet Stevenson, Alan Rickman, Bill Paterson.

Une jeune traductrice a la surprise de voir réapparaître en chair et en os son défunt mari revenu d'outre-tombe. Traitement subtil d'un sujet familier. Éléments fantastiques abordés avec désinvolture et ironie. Réalisation sobre et parfois inventive. Jeu assez émouvant de J. Stevenson.

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Genre :

Drame fantastique

Année :

1991

Durée :

107 min.

Réalisation :

Anthony Minghella

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Alliance

Interprètes :

Juliet Stevenson
Alan Rickman
Bill Paterson

Nina, une jeune traductrice vivant à Londres, se remet difficilement de la mort de son époux Jamie, un musicien emporté subitement par une tumeur à la gorge. Un soir, Jamie lui apparaît en chair et en os. La jeune femme est tour à tour bouleversée, étonnée, puis enchantée par l'arrivée de ce visiteur d'outre-tombe qui s'installe à demeure chez elle. Vivre avec un être décédé entraîne cependant quelques désagréments, surtout lorsque ce dernier invite d'autres morts à la maison. Entre-temps, Nina fait la connaissance de Mark, un jeune homme vers qui elle se sent attirée, et doit alors choisir entre celui-ci et Jamie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce n'est pas la première fois qu'un film traite d'un amour si fort qu'il en réveille les morts. NEITHER THE SEA NOR THE SAND racontait une histoire semblable, tout comme le récent Ghost. Le traitement est cependant plus subtil dans le présent film, et plus ambigu, tant sur le pian de la psychologie des personnages que sur celui du dosage de l'humour et du drame. Les éléments fantastiques sont traités avec désinvolture et une pointe d'ironie. La réalisation est sobre, avec ici et là quelques touches inventives. Juliet Stevenson a tendance à charger un peu son jeu, mais elle demeure assez émouvante.

Texte : Martin Girard

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