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Apparences trompeuses (Another You)

É.-U. 1991. Comédie policière de Maurice Phillips avec Richard Pryor, Gene Wilder, Mercedes Ruelh. Un petit escroc en probation pousse un menteur pathologique dont il a la charge à se faire passer pour un millionnaire porté disparu. Comique débridé et sans grande originalité. Effets farfelus faciles. Réalisation de métier. Plusieurs longueurs. Un certain entrain dans le jeu du tandem vedette.

Général
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Apparences trompeuses (Another You)

Général Général

É.-U. 1991. Comédie policière de Maurice Phillips avec Richard Pryor, Gene Wilder, Mercedes Ruelh.

Un petit escroc en probation pousse un menteur pathologique dont il a la charge à se faire passer pour un millionnaire porté disparu. Comique débridé et sans grande originalité. Effets farfelus faciles. Réalisation de métier. Plusieurs longueurs. Un certain entrain dans le jeu du tandem vedette.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia TriStar
Durant son temps de probation, un petit escroc, Eddie Dash, participe à des travaux communautaires dans un hôpital psychiatrique, où il est chargé d'aider à la réintégration dans la société de George, un menteur pathologique. Lors d'une sortie, Ce dernier est confondu avec Abe Fielding, un millionnaire que l'on croyait disparu. Bien que voulant se débarrasser de son encombrant compagnon, Eddie flaire le coup fumant et pousse le malade à jouer le jeu jusqu'au bout, d'autant plus que même Elaine, l'épouse de Fielding, semble n'y voir que du feu. Mais les apparences sont trompeuses. Eddie s'aperçoit vite au contact de Dibbs, le conseiller financier véreux d'Abe, qu'ils ont embarqué dans une dangereuse combine.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour leur quatrième film, le tandem Richard Pryor et Gene Wilder n'a pas cherché à varier son style, reprenant le traitement comique débridé qui fit son succès précédemment. L'entrain et la dé-contraction du duo sauvent d'ailleurs quelque peu cette comédie sans grande originalité, qui a tendance à forcer un peu trop sur les effets farfelus, faciles et gratuits. Malgré qu'il fasse montre d'un certain métier, le metteur en scène se perd dans d'innombrables longueurs que ponctuent des rebondissements aussi peu passionnants que prévisibles.

Texte : Christian Depoorter

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