Virée à Manhattan (Hangin' with the Homeboys)

Name: Virée à Manhattan
Director: Joseph B. Vasquez
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 88 min.

É.-U. 1990. Comédie de moeurs de Joseph B. Vasquez avec Nestor Serrano, John Leguizamo, Doug E. Doug. Un vendredi soir, deux Noirs et deux Portoricains du Bronx font une virée à Manhattan. Thème du mal de vivre de la jeunesse abordé avec sincérité. Touches attendrissantes et humoristiques. Traitement plus appliqué qu'inventif. Quelques longueurs. Jeu spontané des comédiens.

Virée à Manhattan (Hangin' with the Homeboys)

En attente de classement

É.-U. 1990. Comédie de moeurs de Joseph B. Vasquez avec Nestor Serrano, John Leguizamo, Doug E. Doug.

Un vendredi soir, deux Noirs et deux Portoricains du Bronx font une virée à Manhattan. Thème du mal de vivre de la jeunesse abordé avec sincérité. Touches attendrissantes et humoristiques. Traitement plus appliqué qu'inventif. Quelques longueurs. Jeu spontané des comédiens.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Nestor Serrano
John Leguizamo
Doug E. Doug

Ce vendredi soir, Tom, un Noir qui rêve d'être acteur, embarque dans sa voiture ses copains du Bronx pour une virée à Manhattan. Il y a là Willie, un Noir fauché et complexé, et deux Portoricains: Johnny, un étalagiste, et Fernando, un gigolo qui se fait passer pour un Italien. Les quatre loustics s'introduisent dans une soirée portoricaine d'où ils sont aussi vite éjectés, puis dans un club vidéo, où Johnny reconnaît dans un film porno celle qu'il aime secrètement. Quand il la rencontre plus tard dans une boîte de nuit, le jeune homme crée un incident La mésentente ayant rongé le groupe, Johnny rentre chez lui, tandis que Willie se sent toujours persécuté et que Tom est déçu. Fernando, lui, continue à draguer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Thèmes souvent abordés cette dernière décennie par le cinéma américain, la camaraderie et le mal de vivre de la jeunesse ont inspiré Joseph B. Vasquez qui en offre une variation à saveur autobiographique plutôt quelconque quant à la forme, sa mise en scène ne dépassant guère le stade du travail appliqué. Son exploration psychologique des personnages se fait par petites touches attendrissantes et humoristiques, mais le côté systématique de certaines mises en situation nuit parfois à la profonde sincérité du propos. L'intéressant effet de huis clos créé par le laps de temps précis de l'action et par la centralisation du récit sur un quatuor donne lieu malheureusement à quelques longueurs. Les comédiens possèdent un jeu spontané tout à fait convaincant.

Texte : Christian Depoorter

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