Une Balle dans la tête (A Bullet in the Head)

Name: Balle dans la tête, Une
Director: Attila Bertalan
Genre: Drame de guerre
Duration: 90 min.

Can. 1990. Drame de guerre de Attila Bertalan avec David Garfinkle, Andrea Sadler. Au début du XXe siècle, dans un pays européen en guerre, un jeune soldat blessé d'une balle à la tête erre dans la forêt. Dialogues écrits dans une langue fictive. Histoire habilement racontée au moyen des images. Style à la fois fruste et crédible. Interprétation convaincante de D. Garfinkle.

Une Balle dans la tête (A Bullet in the Head)

13 ans +

Can. 1990. Drame de guerre de Attila Bertalan avec David Garfinkle, Andrea Sadler.

Au début du XXe siècle, dans un pays européen en guerre, un jeune soldat blessé d'une balle à la tête erre dans la forêt. Dialogues écrits dans une langue fictive. Histoire habilement racontée au moyen des images. Style à la fois fruste et crédible. Interprétation convaincante de D. Garfinkle.

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Genre :

Drame de guerre

Année :

1990

Durée :

90 min.

Réalisation :

Attila Bertalan

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Cinéma libre

Producteurs :

Interprètes :

David Garfinkle
Andrea Sadler

Une guerre fait rage dans un pays européen non identifié, au début de ce siècle. Seul survivant de son détachement, un jeune soldat blessé d'une balle à la tête erre dans la forêt Après avoir sauvé la vie d'un paysan torturé par deux soldats, il passe la nuit dehors et reprend sa marche le lendemain. Rendu aveugle par sa blessure, il est recueilli par une femme qui le soigne. Il la quitte après avoir recouvré la vue et tombe entre les mains de soldats ennemis à qui s'est joint le paysan dont il a sauvé la vie. Avec l'aide de ce dernier, il s'enfuit en compagnie d'une jeune prisonnière.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Curieuse production que ce film tourné dans les Cantons de l'Est, avec un budget minuscule, par un cinéaste canadien anglais. Les dialogues sont dans une langue fictive, aux intonations parfois slaves, hispaniques ou autres. Le sens de la narration dont fait preuve l'auteur permet à lui seul de suivre l'histoire au moyen des images. L'ensemble ne va pas sans évoquer un certain cinéma des pays de l'Est, plutôt fruste au plan de la forme mais en môme temps crédible par ses aspects quasi-documentaires. Il s'agit donc d'un essai honnête, quoique limité. L'interprète principal s'avère convaincant.

Texte : Martin Girard

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