Toujours les femmes (Near Misses)

Name: Toujours les femmes
Director: Baz Taylor
Genre: Comédie
Duration: 94 min.

Fr. 1990. Comédie de Baz Taylor avec Judge Reinhold, Casey Siemaszko, Rebecca Pauly. Un scientifique bigame demande à un modeste employé de se faire passer pour lui lors d'une mission militaire à Paris. Téléfilm employant des recettes usées. Développements prévisibles et répétitifs. Réalisation sans rythme. Interprétation quelconque.

Toujours les femmes (Near Misses)

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Fr. 1990. Comédie de Baz Taylor avec Judge Reinhold, Casey Siemaszko, Rebecca Pauly.

Un scientifique bigame demande à un modeste employé de se faire passer pour lui lors d'une mission militaire à Paris. Téléfilm employant des recettes usées. Développements prévisibles et répétitifs. Réalisation sans rythme. Interprétation quelconque.

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Genre :

Comédie

Année :

1990

Durée :

94 min.

Réalisation :

Baz Taylor

Pays :

France

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Judge Reinhold
Casey Siemaszko
Rebecca Pauly

Claude Jobert est cadre dans une entreprise qui développe un projet top-secret pour le Pentagone. Cet homme bizarre a une femme à Los Angeles et une autre à Phoenix, qui ignorent tout l'une de l'autre. Afin de prendre des vacances avec sa maîtresse Toni, il se fait remplacer par un de ses employés, Colin Phipps. Celui-ci se rend donc à sa place à Paris pour effectuer sa période annuelle dans l'armée de réserve. Là-bas, croyant avoir affaire à Claude, le KGB kidnappe Colin afin d'obtenir des renseignements ultra-secrets. Les deux femmes de Claude se rendent aussitôt à Paris en catastrophe. Colin réussit à s'enfuir alors que Claude arrive sur les lieux, créant ainsi divers malentendus.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'intrigue prévisible de ce téléfilm sur fond de guerre froide sert surtout de prétexte à un enchaînement de quiproquos amoureux farfelus et répétitifs. L'action est assez lente à démarrer et s'enlise rapidement dans des situations peu crédibles. Les personnages sont caricaturaux à souhait et déploient en vain des tonnes d'énergie afin d'animer le récit. Malheureusement, des dialogues consternants et insipides relèguent leur jeu aux oubliettes. Le réalisateur réussit bien quelques fois à faire sourire, mais ses maigres efforts ne parviennent pas à donner un rythme de croisière à un ensemble qui laisse le spectateur sur sa faim avec une impression de déjà-vu.

Texte : Dany Quirion

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