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The Miracle

G.-B. 1990. Drame sentimental de Neil Jordan avec Niall Byrne, Beverly d'Angelo, Donal McCann. Un jeune saxophoniste poursuit de ses avances une vedette américaine de music-hall dont le passé semble receler un secret. Histoire développée avec tact et sensibilité. Atmosphère gaélique bien rendue. Belle mise en images. Trame musicale exquise. Jeu plein d'aisance des comédiens.

13 ans +
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The Miracle (The Miracle)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 1990. Drame sentimental de Neil Jordan avec Niall Byrne, Beverly d'Angelo, Donal McCann.

Un jeune saxophoniste poursuit de ses avances une vedette américaine de music-hall dont le passé semble receler un secret. Histoire développée avec tact et sensibilité. Atmosphère gaélique bien rendue. Belle mise en images. Trame musicale exquise. Jeu plein d'aisance des comédiens.

Année :
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Distributeur :
Malofilm
Dans une station balnéaire irlandaise, un saxophoniste, Jimmy, et son amie Rose passent leur temps à inventer une vie secrète aux passants qu'ils observent. Un jour, ils remarquent Renée, une belle blonde, qui vient de débarquer. Jimmy finit par être obsédé par cette femme qu'il se met à suivre. Quelque peu jalouse, Rose se décide alors à fréquenter le dompteur d'un cirque de passage. Ayant abordé Renée, Jimmy découvre que celle-ci est la vedette américaine d'un music-hall de Dublin. Malgré leur différence d'âge, une attirance commune semble naître entre eux. Cependant, le jeune aimerait percer le mystère qui entoure Renée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Grâce à une belle mise en images qui rend toute l'authenticité de l'atmosphère gaélique, Neil Jordan retrouve ici son univers de grisaille et son goût pour les petits orchestres de bal, tels qu'il les a déjà évoqués dans son premier film ANGEL. Au rythme d'une exquise trame musicale, il aborde cette histoire de passion incestueuse avec beaucoup de tact et une grande sensibilité pour les émotions de ses personnages, même si parfois il ne les approfondit pas assez ou s'avère trop prévisible, comme dans le cas de la relation ambiguë qui unit Rose et son dompteur. La touche poétique finale et le jeu plein d'aisance des comédiens ajoutent au charme de l'ensemble.

Texte : Christian Depoorter

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