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Sue de mes rêves (Dream Trap)

É.-U. 1990. Comédie fantaisiste de Hugh Parks, Tom Logan avec Kristy Swanson, Sasha Jenson, Jeanie Moore. Amoureux d'une femme qu'il rencontre dans ses rêves, un adolescent se lie d'amitié avec une camarade de classe qui se révèle le parfait sosie de celle-ci. Scénario artificiel. Onirisme de pacotille. Réalisation plutôt insipide. Jeunes interprètes assez sympathiques.

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Sue de mes rêves (Dream Trap)

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É.-U. 1990. Comédie fantaisiste de Hugh Parks, Tom Logan avec Kristy Swanson, Sasha Jenson, Jeanie Moore.

Amoureux d'une femme qu'il rencontre dans ses rêves, un adolescent se lie d'amitié avec une camarade de classe qui se révèle le parfait sosie de celle-ci. Scénario artificiel. Onirisme de pacotille. Réalisation plutôt insipide. Jeunes interprètes assez sympathiques.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Sur le point d'effectuer sa rentrée dans une nouvelle faculté, Alvin aimerait bien profiter de la circonstance pour s'offrir enfin la fille de ses rêves. Les occasions ne manquent d'ailleurs pas, projeté qu'il est au beau milieu d'une horde de jeunes et ravissantes étudiantes qui s'émancipent sous les yeux faussement ahuris d'un doyen guindé et vicieux. Les allées et venues qu'effectue Alvin dans l'enceinte de l'établissement avec son compagnon de chambre l'amènent à faire la connaissance de Suzanne, une étudiante à qui il confie certains de ses secrets. Leur relation est cependant perturbée par les apparitions plutôt cocasses d'une fille dont le jeune homme rêve la nuit et qui se révèle le parfait sosie de sa nouvelle amie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le thème du phantasme et du dédoublement de soi, déjà copieusement exploité dans le cinéma américain et qui n'est pas en soi dénué de tout intérêt, est ici abordé sans imagination. L'univers dans lequel le spectateur se trouve plongé est, plus souvent qu'autrement, desservi par un scénario ne reposant que sur un montage de scènes racoleuses, où foisonnent cliché sur cliché. En conséquence, cette enfilade de gags peu subtils ne donne lieu à aucun développement psychologique. La mise en scène, plutôt statique, est affectée du même effet de redondance. L'interprétation est à l'image de la légèreté de l'ensemble.

Texte : Paul Tiffet

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