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Rocky V

Dimanche 12 Mai à 17:25 | CRAVE

É.-U. 1990. Drame sportif de John G. Avildsen avec Sylvester Stallone, Tommy Morrison, Talia Shire. Un champion de boxe entraîne un jeune pugiliste qui, après quelques succès, tombe entre les mains d'un promoteur malhonnête. Film de série opérant un retour à l'esprit du premier épisode. Variations répétitives. Mise en scène efficace. Interprétation acceptable.

Général
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Rocky V (Rocky V)

Général Général

É.-U. 1990. Drame sportif de John G. Avildsen avec Sylvester Stallone, Tommy Morrison, Talia Shire.

Un champion de boxe entraîne un jeune pugiliste qui, après quelques succès, tombe entre les mains d'un promoteur malhonnête. Film de série opérant un retour à l'esprit du premier épisode. Variations répétitives. Mise en scène efficace. Interprétation acceptable.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
MGM
Revenu victorieux d'un match en U.R.S.S., le boxeur Rocky Balboa souffre pourtant de vertiges et ne peut remonter dans l'arène. Ruiné par ailleurs, Rocky abandonne sa résidence somptueuse pour s'installer avec sa femme et son fils dans son quartier d'origine à Philadelphie. Il remet en état le gymnase du vieux Mick qui fut son instructeur et se met lui-même à donner des leçons à un jeune pugiliste prometteur, Tommy Gunn. Après quelques succès, celui-ci se laisse gagner par les promesses d'un promoteur malhonnête, Duke, qui veut l'amener à combattre Rocky. Insulté par son ancien protégé, Rocky refuse toujours de reprendre les gants. Tommy le provoque cependant avec tant de malice qu'une bagarre éclate.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le cinquième chapitre de la série ROCKY marque un retour au réalisateur initial, Stallone se contentant cette fois des rôles de scénariste et de protagoniste. On sent aussi dans la conception d'ensemble un effort pour retrouver l'esprit du début tant dans l'environnement physique que dans la conception du personnage. Si le film se termine comme d'habitude par un combat épique, celui-ci se déroute maintenant dans la rue et non plus sur le ring. La mise en scène des variations répétitives est tout de même assez efficace et l'interprétation acceptable.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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