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Le Secret de la chambre claire (White Room)

Can. 1990. Drame psychologique de Patricia Rozema avec Kate Nelligan, Maurice Godin, Sheila McCarthy. Dans l'espoir de percer le secret d'une femme solitaire et mystérieuse, un jeune homme se fait engager par elle comme jardinier. Récit quelque peu fabriqué mais rehaussé par des détails poétiques ou fantaisistes. Illustration d'une originalité certaine. Interprétation inégale.

13 ans +
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Le Secret de la chambre claire (White Room)

13 ans + 13 ans +

Can. 1990. Drame psychologique de Patricia Rozema avec Kate Nelligan, Maurice Godin, Sheila McCarthy.

Dans l'espoir de percer le secret d'une femme solitaire et mystérieuse, un jeune homme se fait engager par elle comme jardinier. Récit quelque peu fabriqué mais rehaussé par des détails poétiques ou fantaisistes. Illustration d'une originalité certaine. Interprétation inégale.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Norman entretient des velléités d'écrivain et il est durement frappé par le fait qu'il a été témoin du meurtre d'une jeune femme, Madelaine, qu'il épiait secrètement. Il fuit la banlieue pour aller dans la grande ville où il lie amitié avec une artiste excentrique, Zelda, qui tient un kiosque à journaux. En se rendant aux funérailles de Madelaine, Norman est intrigué par la présence d'une inconnue qui porte ouvertement le deuil. Il la suit jusqu'à la maison isolée qu'elle habite et se fait engager comme jardinier. Il devient bientôt l'amant de cette femme, Jane, qui avait une relation particulière avec Madelaine, vedette de la chanson. Zelda, jalouse, révèle à la presse le secret de Jane pour libérer Norman de son emprise.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après avoir traité de fantaisies féminines dans son premier film, / Heard the Mermaids Singing, Patricia Rozema s'attaque maintenant aux fantasmes masculins dans la lignée de certains thèmes hîtchcockiens. Le traitement apparaît cette fois un peu plus fabriqué et moins coulant que dans son premier essai, maïs il s'y trouve divers éléments susceptibles d'intéresser les cinéphiles. L'illustration témoigne d'une originalité certaine et divers détails poétiques ou fantaisistes trouvent place dans le récit. L'interprétation du jeune Maurice Godin apparaît un peu coincée en regard du jeu assuré de ses partenaires.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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