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Le Château de ma mère

Name: Château de ma mère, Le
Director: Yves Robert
Genre: Comédie dramatique
Duration: 98 min.

Fr. 1990. Comédie dramatique de Yves Robert avec Julien Ciamaca, Nathalie Roussel, Philippe Caubère. Une famille en vacances à la campagne traverse à pied plusieurs propriétés privées pour se rendre à sa maison sur une colline. Récit basé sur les souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol. Délice provençal enrobé de bonhomie. Développements savoureux. Contexte naturel bien exploité. Interprétation de qualité.

Le Château de ma mère (Le Château de ma mère)

Général

Fr. 1990. Comédie dramatique de Yves Robert avec Julien Ciamaca, Nathalie Roussel, Philippe Caubère.

Une famille en vacances à la campagne traverse à pied plusieurs propriétés privées pour se rendre à sa maison sur une colline. Récit basé sur les souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol. Délice provençal enrobé de bonhomie. Développements savoureux. Contexte naturel bien exploité. Interprétation de qualité.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1990

Durée :

98 min.

Réalisation :

Yves Robert

Scénario :

Jérôme Tonnerre
Yves Robert
D'après le livre de Marcel Pagnol

Photographie :

Robert Alazraki

Musique :

Vladimir Cosma

Montage :

Pierre Gillette

Pays :

France

Distributeur :

Action-Films

Interprètes :

Julien Ciamaca
Nathalie Roussel
Philippe Caubère
Didier Pain
Thérèse Liotard
Victorien Delamare
Paul Crauchet
Joris Molinas
Julie Timmerman
Jean Carmet
Jean Rochefort
Georges Wilson

Le jeune Marcel ne songe qu'à retourner à la maison des collines où il a vécu ses dernières vacances. Justement, son père Joseph a décidé que la famille y passerait les congés de Noël et de Pâques. On s'y sent si bien que l'on s'arrange pour s'y rendre chaque fin de semaine. Mais les parents et les enfants doivent faire une longue route à pied. Heureusement, un ancien élève de Joseph, Bouzigue, leur confie la clé des portes qui séparent les propriétés longeant un canal, ce qui raccourcit la marche de moitié. Leur manège est repéré, mais seul le garde de la dernière propriété se montre intransigeant. Bouzigue arrive heureusement à le calmer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette deuxième tranche des souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol (après LA GLOIRE DE MON PÈRE) est servie comme un délice provençal parfumé de piété filiale et enrobé de bonhomie. L'anecdote est mince, mais on l'a nourrie de développements savoureux dans une illustration soignée qui utilise à bon escient les beautés de la nature ou les constructions à l'ancienne. L'intrigue se déroule à un rythme dégagé avec quelques gentils détours comme la candide idylle entre le jeune protagoniste et une fillette capricieuse. Tout cela apparaît fort charmant et Nathalie Roussel s'affirme dans le rôle-clé de la mère au coeur d'une interprétation d'ensemble naturelle et sympathique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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