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La Dernière heure (Concrete War)

É.-U. 1990. Drame policier de William Sachs avec Michael Paré, Shannon Tweed, Bobby Di Cicco. Un ancien escroc et un policier amoureux de la même femme doivent s'entraider lorsque celle-ci est kidnappée par des truands. Pauvre imitation du film "Die Hard". Situations répétitives. Scènes d'action peu inspirées. Interprétation fade.

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La Dernière heure (Concrete War)

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É.-U. 1990. Drame policier de William Sachs avec Michael Paré, Shannon Tweed, Bobby Di Cicco.

Un ancien escroc et un policier amoureux de la même femme doivent s'entraider lorsque celle-ci est kidnappée par des truands. Pauvre imitation du film "Die Hard". Situations répétitives. Scènes d'action peu inspirées. Interprétation fade.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
France-Film
Jeff Flinn est un flic de New York toujours amoureux de son ex-femme, Susan, qui est maintenant l'épouse d'Eric Drake. Susan ignore qu'Eric est en fait un ancien agent de change qui a modifié nom et visage après avoir détourné l'argent du père mafioso de son associé d'alors, John Lombardi. Lorsque ce dernier retrouve sa trace cinq ans plus tard, il fait kidnapper Susan, espérant ainsi venger son père et sa soeur, respectivement estropié et abandonnée par Eric, et du môme coup, récupérer les cinq millions que ce dernier a volés avant de disparaître. Mais, c'était sans compter avec l'alliance de Jeff et d'Eric, qui entreprennent de délivrer Susan.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Rien ne ressort vraiment de cette histoire de triangle amoureux mal résolu, dont le scénario sans surprises et truffé d'invraisemblances sert de faible trame à un film réalisé d'une manière linéaire et hétérogène. Bien que les effets de tension propres au genre aspirent vainement à créer une tension, ils sont malencontreusement contrecarrés par une direction d'acteurs sans relief qui ne soutient que très superficiellement le duo Paré-Pucci. De plus, la conclusion du film est quelque peu déconcertante et démontre bien l'amateurisme d'un réalisateur qui s'avère incapable de rendre crédible la moindre situation.

Texte : Yves Rivard

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