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L'Amour dans de beaux draps (Sibling Rivalry)

É.-U. 1990. Comédie de Carl Reiner avec Kirstie Alley, Bill Pullman, Jami Gertz. Déçue par sa vie familiale et encouragée par sa soeur délurée, une femme a une aventure avec un inconnu dont la mort subite entraîne certaines complications. Scénario artificiel. Mise en scène lourde. Interprétation peu convaincante.

Général
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L'Amour dans de beaux draps (Sibling Rivalry)

Général Général

É.-U. 1990. Comédie de Carl Reiner avec Kirstie Alley, Bill Pullman, Jami Gertz.

Déçue par sa vie familiale et encouragée par sa soeur délurée, une femme a une aventure avec un inconnu dont la mort subite entraîne certaines complications. Scénario artificiel. Mise en scène lourde. Interprétation peu convaincante.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Malofilm
En épousant le docteur Harry Turner, Marjorie s'est résignée à être une parfaite femme au foyer, abandonnant même ses ambitions littéraires. Après huit ans de vie conjugale, elle se sent déprimée, son mari la négligeant pour son travail. Suivant les conseils de sa jeune soeur délurée Jeanine, Marjorie a une aventure avec un inconnu qui meurt inopinément à la suite de leurs ébats dans une chambre d'hôtel. Un représentant, Meany, qui croit à tort avoir causé cette mort, aide la jeune femme à transformer ce décès en suicide. Marjorie apprend bientôt que le défunt est son beau-frère Charles, absent du pays depuis plusieurs années. Par ailleurs le policier chargé de l'enquête n'est autre que le frère de Meany et il ne trouve rien de mieux à faire que de s'éprendre de Jeanine.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En accord avec le titre ("sibling" signalant une parenté au premier degré), la scénariste s'est ingéniée à créer des relations fraternelles entre les divers personnages de son récit au point de le rendre fort artificiel. Comme la mise en scène n'est pas par ailleurs des plus légères, il en résulte un film particulièrement controuvé. Les situations apparaissent fabriquées, les personnages manquent de consistance et seul Sam Elliott, dans le rôle épisodique du beau-frère, arrive à tirer son épingle du jeu dans une interprétation d'ensemble fort peu convaincante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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