Julia a deux amants (Julia Has Two Lovers)

Name: Julia a deux amants
Director: Bashar Shbib
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 88 min.

É.-U. 1990. Comédie de moeurs de Bashar Shbib avec Daphna Kastner, David Duchovny, David Charles. Alors qu'elle hésite à épouser l'homme avec qui elle vit depuis deux ans, une jeune femme s'engage dans une liaison avec un inconnu. Sujet assez original mais fort bavard. Développements artificiels et vides d'émotion. Réalisation consciencieuse. Rythme languissant. Interprétation plutôt convaincante.

Julia a deux amants (Julia Has Two Lovers)

13 ans +

É.-U. 1990. Comédie de moeurs de Bashar Shbib avec Daphna Kastner, David Duchovny, David Charles.

Alors qu'elle hésite à épouser l'homme avec qui elle vit depuis deux ans, une jeune femme s'engage dans une liaison avec un inconnu. Sujet assez original mais fort bavard. Développements artificiels et vides d'émotion. Réalisation consciencieuse. Rythme languissant. Interprétation plutôt convaincante.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1990

Durée :

88 min.

Réalisation :

Bashar Shbib

Pays :

États-Unis

Distributeur :

CinémaPlus

Interprètes :

Daphna Kastner
David Duchovny
David Charles

Lorsque Jack demande Julia en mariage après deux ans de vie commune, celle-ci hésite, n'étant plus sûre de ses sentiments envers lui. La même journée, un inconnu, prénommé Daniel, téléphone, soi-disant par erreur, à la jeune femme et engage avec elle une longue conversation érotique. Profitant de l'absence de Jack, Daniel rend visite à son interlocutrice qui se donne alors à lui sans hésiter. Peu après, une femme prévient Julia qu'elle est également tombée dans le piège du maniaque du téléphone. Déçue, Julia décide finalement d'épouser Jack, ce qui n'est pas du goût de son nouvel amant qui cherche à s'interposer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le jeu des relations entre les technologies de communication et la vie sentimentale semble un des thèmes préférés de certains jeunes cinéastes nord-américains actuels, tels Atom Egoyan, Steven Soderbergh... Pour anecdotique et bavarde qu'elle soit, l'intrigue possède un potentiel d'idées et de réflexions non négligeable qui ne demandaient qu'à être explorées. Malheureusement, les développements apparaissent souvent artificiels et vides d'émotion et l'ensemble n'échappe pas à un sentiment de lassitude que n'a pu compenser toute la bonne volonté du metteur en scène. Des interprètes plutôt convaincants campent des personnages pas assez fouillés.

Texte : Christian Depoorter

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