Herman

Name: Herman
Director: Erik Gustavson
Genre: Comédie dramatique
Duration: 100 min.

Norv. 1990. Comédie dramatique de Erik Gustavson avec Anders Danielsen Lie, Elisabeth Sand, Bjorn Floberg. A Oslo, en 1961, un garçon de 11 ans accepte difficilement de perdre ses cheveux prématurément. Exploration métaphorique des difficultés du passage de l'enfance à l'âge adulte. Quelques lieux communs. Réalisation soignée et sensible. Interprétation s'accordant à l'ensemble.

Herman (Herman)

Général

Norv. 1990. Comédie dramatique de Erik Gustavson avec Anders Danielsen Lie, Elisabeth Sand, Bjorn Floberg.

A Oslo, en 1961, un garçon de 11 ans accepte difficilement de perdre ses cheveux prématurément. Exploration métaphorique des difficultés du passage de l'enfance à l'âge adulte. Quelques lieux communs. Réalisation soignée et sensible. Interprétation s'accordant à l'ensemble.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1990

Durée :

100 min.

Réalisation :

Erik Gustavson

Pays :

Norvège

Distributeur :

Cineplex-Odeon

Interprètes :

Anders Danielsen Lie
Elisabeth Sand
Bjorn Floberg

A Oslo, en 1961, le jeune Herman accepte difficilement de perdre ses cheveux prématurément. A onze ans, le choc est grand, surtout qu'il devient bien vite la risée de ses camarades de classe. Le coiffeur du quartier a beau commander une perruque pour le garçonnet, n'en n'y fait. Herman s'apitoie sur son sort. Avec le temps cependant, il reprend goût a la vie grâce à la patience de ses parents et aux conseils de son grand-père mourant, ainsi qu'à l'affection que lui porte un voisin excentrique. C'est donc chauve mais sûr de lui que, quelques mois plus tard, Herman accepte l'amitié particulière que lui porte une rouquine à l'opulente chevelure.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les films portant sur la transition de l'enfance à l'âge adulte sont légion. HERMAN ne se distingue de ses prédécesseurs que par l'exploitation qu'on y fait de la pelade, maladie qui devient ici le moteur de l'intrigue. Elle permet aux auteurs d'explorer de façon métaphorique les difficultés inhérentes au rite de passage que doit accomplir le héros. Là s'arrête cependant l'originalité du film qui reprend méthodiquement tous les lieux communs du genre. Fidèle à une certaine tradition du cinéma Scandinave, la réalisation s'avère soignée et sensible, bien que son côté appliqué confère sans doute à l'oeuvre un aspect propret qui édulcolore et aseptise le drame des personnages. L'interprétation s'accorde à l'ensemble.

Texte : Johanne Larue

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