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Graveyard Story

Can. 1990. Drame policier de Bozidar D. Benedikt avec Adrian Paul, John Ireland, Courtney Taylor. Un détective de Toronto cherche à éclaircir les circonstances de la mort d'une fillette qui fut enlevée par erreur. Intrigue à la fois simpliste et illogique. Progression dramatique laborieuse et capricieuse. Mise en scène réduite à la plus simple expression. Interprétation embarrassée d'acteurs mal dirigés.

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Graveyard Story (Graveyard Story)

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Can. 1990. Drame policier de Bozidar D. Benedikt avec Adrian Paul, John Ireland, Courtney Taylor.

Un détective de Toronto cherche à éclaircir les circonstances de la mort d'une fillette qui fut enlevée par erreur. Intrigue à la fois simpliste et illogique. Progression dramatique laborieuse et capricieuse. Mise en scène réduite à la plus simple expression. Interprétation embarrassée d'acteurs mal dirigés.

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n/d
Hanté par la vision d'une fillette dont il a remarqué la tombe au cimetière, le vieux docteur MacGregor fait appel à un détective de Toronto, Hunt, pour éclaircir les circonstances de la mort de la jeune Dolly Cooper. Après quelques recherches, Hunt apprend que Dolly était la fille d'une mère célibataire travaillant chez une riche demoiselle. Elle fut enlevée par erreur, sa mère se suicida en la croyant morte et la patronne de celle-ci fit enterrer en cachette la boite où se trouvait censément le corps de Dolly. Mais Hunt découvre que Dolly est toujours vivante et se croit la fille de l'un des kidnappeurs qui a maille à partir avec la mafia.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On se demande ce qui est le plus risible dans cette entreprise initiale d'un scénariste-réalisateur qui n'est manifestement pas doué pour le cinéma: l'intrigue à la fois simpliste en môme temps qu'illogique ou l'interprétation embarrassée d'acteurs mal dirigés. Ce qui commence comme un conte surnaturel prend soudain une tournure policière qui vient infirmer les données fantastiques du début sans que cela semble poser le moindre problème à l'auteur. La progression dramatique est à la fois laborieuse et capricieuse et la mise en scène est réduite à la plus simple expression. Seul le vétéran John Ireland arrive à donner un semblant de substance à son rôle.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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