Flirting

Name: Flirting
Director: John Duigan
Genre: Drame de moeurs
Duration: 96 min.

Aust. 1990. Drame de moeurs de John Duigan avec Noah Taylor, Thandiwe Newton, Nicole Kidman. En 1965, dans un collège australien, un adolescent à l'esprit romantique et la fille d'un nationaliste africain se lient d'amitié. Regard à la fois critique et nuancé sur les valeurs morales héritées du système britannique. Mise en scène vivante. Jeu décontracté et naturel des interprètes.

Flirting (Flirting)

Général

Aust. 1990. Drame de moeurs de John Duigan avec Noah Taylor, Thandiwe Newton, Nicole Kidman.

En 1965, dans un collège australien, un adolescent à l'esprit romantique et la fille d'un nationaliste africain se lient d'amitié. Regard à la fois critique et nuancé sur les valeurs morales héritées du système britannique. Mise en scène vivante. Jeu décontracté et naturel des interprètes.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1990

Durée :

96 min.

Réalisation :

John Duigan

Scénario :

John Duigan

Photographie :

Geoff Burton

Montage :

Robert Gibson

Pays :

Australie

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Noah Taylor
Thandiwe Newton
Nicole Kidman

En 1965, Danny Embling est pensionnaire au collège St-Albans. Son esprit romantique et indépendant a fait de lui une cible pour les sarcasmes des étudiants plus conformistes. Mi-cynique, mi-stoïque face à ce traitement, il mène une existence introvertie jusqu'au jour où une nouvelle étudiante, Thandiwe, est admise dans la section féminine du collège. Fille d'un nationaliste africain, cette dernière fait face aux railleries racistes auxquelles elle répond toujours avec verve et éloquence. Reconnaissant dans l'autre un esprit complice, les deux adolescents se lient d'amitié et se rencontrent la nuit grâce à de multiples manigances. Un jour pourtant, Thandiwe est obligée de rejoindre sa famille en Ouganda.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Faisant suite à THE YEAR MY VOICE BROKE, ce deuxième volet d'une trilogie en devenir évoque avec beaucoup de tendresse un amour d'adolescents dans un cadre cher au cinéma anglo-saxon: le collège privé. Allant plus loin que la simple dénonciation des pratiques scolaires et des mesures disciplinaires de l'époque décrite, le film pose un regard à la fois critique et très nuancé sur les valeurs morales héritées du système britannique. Une mise en scène vivante et toujours soucieuse du moindre détail significatif bénéficie en plus de la présence d'acteurs au jeu décontracté et naturel. Ainsi, le duo Taylor-Newton évolue avec charme dans un univers qui est souvent dépourvu de cette qualité.

Texte : Yves Rivard

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