De quoi j'me mêle encore (Look Who's Talking Too)

Name: De quoi j'me mêle encore
Director: Amy Heckerling
Genre: Comédie
Duration: 84 min.

É.-U. 1990. Comédie de Amy Heckerling avec Kirstie Alley, John Travolta, Elias Koteas. Un bambin commente la mésentente passagère que vivent ses parents. Assemblage d'anecdotes dispersées. Effets artificiels. Interprétation peu convaincante.

De quoi j'me mêle encore (Look Who's Talking Too)

Général

É.-U. 1990. Comédie de Amy Heckerling avec Kirstie Alley, John Travolta, Elias Koteas.

Un bambin commente la mésentente passagère que vivent ses parents. Assemblage d'anecdotes dispersées. Effets artificiels. Interprétation peu convaincante.

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Genre :

Comédie

Année :

1990

Durée :

84 min.

Réalisation :

Amy Heckerling

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Kirstie Alley
John Travolta
Elias Koteas

Mariés depuis peu, James et Mollie, respectivement chauffeur de taxi et comptable, sont les heureux parents d'un charmant bambin prénommé Mikey. Un autre enfant s'annonce; ce sera une petite fille qu'on appellera Julie. James est un père idéal et il cherche à améliorer sa situation en devenant pilote d'avion. Tout va pour le mieux mais le frère de Mollie, Stuart, un tantinet excentrique, s'installe chez le couple en attente d'un emploi, ce qui provoque une mésentente passagère entre James et Mollie. Mikey suit les événements et fait des observations in petto.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le film LOOK WHO'S TALKING a remporté un certain succès populaire en prêtant à un bébé la voix d'un adulte pour des réflexions enfantines imaginaires sur le monde ambiant. On exploite encore cette idée, déjà utilisée dans diverses bandes dessinées dont "Hi and Lois" et "Marvin", pour faire parler cette fois-ci en voix-off trois enfants différents. Le procédé fait long feu d'autant qu'on n'a pas songé à le soutenir par un scénario en bonne et due forme mais par un assemblage d'anecdotes dispersées. L'ensemble manque forcément de cohésion et le traitement succombe sous une avalanche d'effets artificiels cultivant la mignardise. Les personnages apparaissent factices d'autant que l'interprétation manque de conviction.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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