Remarquable

Dancing Machine

Name: Dancing Machine
Director: Gilles Béhat
Genre: Drame policier
Duration: 110 min.

Fr. 1990. Drame policier de Gilles Béhat avec Alain Delon, Claude Brasseur, Patrick Dupond. Un inspecteur enquête sur les activités d'un professeur de danse qu'il soupçonne d'être un assassin. Intrigue monotone. Rebondissements artificiels. Chorégraphies interminables. Photographie recherchée. Interprètes de talent.

Dancing Machine (Dancing Machine)

13 ans +

Fr. 1990. Drame policier de Gilles Béhat avec Alain Delon, Claude Brasseur, Patrick Dupond.

Un inspecteur enquête sur les activités d'un professeur de danse qu'il soupçonne d'être un assassin. Intrigue monotone. Rebondissements artificiels. Chorégraphies interminables. Photographie recherchée. Interprètes de talent.

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Genre :

Drame policier

Année :

1990

Durée :

110 min.

Réalisation :

Gilles Béhat

Scénario :

Paul-Loup Sulitzer

Photographie :

Jose Luis Alcaine

Musique :

Marc Cerrone

Montage :

Bruno Boissol

Pays :

France

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Alain Delon
Claude Brasseur
Patrick Dupond

Lorsque Liselotte meurt d'épuisement après un cours de danse d'Alan Wolf, Ella, l'ex-épouse de ce dernier, s'inquiète. C'est que la jeune fille n'est pas la première à mourir dans ces conditions. Aussi, Ella se confie à son voisin l'inspecteur Eparvier. Ce dernier, décide de mener l'enquête et découvre qu'Alan est un ancien danseur-étoile devenu infirme après un accident de la route qui a coûté la vie à sa femme. Obstiné, Eparvier essaie de coincer Wolf, d'autant plus qu'Ella meurt: à son tour. Voyant la jeune danseuse Daphné s'éprendre de son professeur, le policier tend un piège imprévisible à ce dernier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Situer l'action dans le milieu de la danse est une idée qui en vaut une autre, mais était-il nécessaire pour autant d'abuser d'interminables chorégraphies qui ne parviennent qu'à alourdir une intrigue déjà passablement assoupie? Le choix d'une photographie à tonalité bleutée pour dépeindre un univers glauque tient plus ici de l'exercice de style que de la création d'ambiance, tant les rebondissements paraissent artificiels, pour ne pas dire ineptes, à l'instar de l'invraisemblable coup de théâtre final. Des comédiens de talent font de leur mieux pour donner un peu de crédibilité à des personnages manquant sérieusement de profondeur psychologique.

Texte : Christian Depoorter

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