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Cul par-dessus tête (Falling Over Backwards)

Can. 1990. Comédie de moeurs de Mort Ransen avec Saul Rubinek, Paul Soles, Julie St-Pierre. Après une déception sentimentale, un célibataire décide de remettre sa vie en ordre en louant un appartement pour y habiter avec son père paraplégique. Reflet du multiculturalisme de Montréal. Approche d'une ironie discrète. Traitement d'ensemble plutôt superficiel. Interprétation valable.

Général
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Cul par-dessus tête (Falling Over Backwards)

Général Général

Can. 1990. Comédie de moeurs de Mort Ransen avec Saul Rubinek, Paul Soles, Julie St-Pierre.

Après une déception sentimentale, un célibataire décide de remettre sa vie en ordre en louant un appartement pour y habiter avec son père paraplégique. Reflet du multiculturalisme de Montréal. Approche d'une ironie discrète. Traitement d'ensemble plutôt superficiel. Interprétation valable.

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Astral
Après une déception sentimentale, Mel Rosenbloom a décidé de remettre sa vie en ordre en huant un appartement pour y habiter avec son père Harvey, divorcé et paraplégique. Le seul élément déconcertant de ce nouvel arrangement est la présence de la propriétaire, Jacqueline Larivière, accorte et pétulante jeune femme qui habite à l'étage supérieur. Jacqueline lie vite amitié avec le vieil Harvey et Mel lui vient en aide lors d'une bagarre avec son ami de coeur, le bouillant Walter. Celui-ci en vient à épouser une infirmière haïtienne, mais Jacqueline se découvre enceinte. Mel et Harvey, rejoints par Rose, mère de l'un et ex-épouse de l'autre, cherchent à dissuader leur logeuse de se faire avorter.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Volontairement ou non, ce film reflète le multiculturalisme de Montréal en faisant se côtoyer des protagonistes d'origines ethniques différentes. Les liens d'amitié puis les relations sentimentales se développent de façon insolite et sont présentés dans une approche d'une ironie discrète à la Woody Allen. Le ton n'est pas soutenu cependant et le traitement d'ensemble apparaît plutôt superficiel. Saul Rubinek s'acquitte bien de son rôle mais se fait voler la vedette par Paul Soles qui campe avec truculence le père infirme.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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