Cargo

Name: Cargo
Director: François Girard
Genre: Drame fantastique
Duration: 90 min.

Can. 1990. Drame fantastique de François Girard avec Michel Dumont, Geneviève Rioux, Guy Thauvette. En balade en voilier avec sa fille et l'amant de celle-ci, un homme d'âge mûr se réveille seul au lendemain d'une tempête et est recueilli à bord d'un cargo mystérieux. Histoire énigmatique encombrée de clichés. Mise en scène hésitante. Jeu distancié des interprètes.

Cargo (Cargo)

Général

Can. 1990. Drame fantastique de François Girard avec Michel Dumont, Geneviève Rioux, Guy Thauvette.

En balade en voilier avec sa fille et l'amant de celle-ci, un homme d'âge mûr se réveille seul au lendemain d'une tempête et est recueilli à bord d'un cargo mystérieux. Histoire énigmatique encombrée de clichés. Mise en scène hésitante. Jeu distancié des interprètes.

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Genre :

Drame fantastique

Année :

1990

Durée :

90 min.

Réalisation :

François Girard

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Prima Film

Producteurs :

Interprètes :

Michel Dumont
Geneviève Rioux
Guy Thauvette

Alice a réussi à convaincre son père Philippe d'abandonner son bureau pour la journée et de l'accompagner pour une balade en voilier avec son amant Marcel. A bord, Philippe apprend que les deux jeunes gens ont décidé de tout lâcher pour faire le tour du monde. La nuit venue, un terrible orage éclate. Si bien qu'au petit matin, Philippe se réveille seul sur le bateau, ses compagnons ayant passé par-dessus bord. Rescapé par un cargo, il y retrouve les deux amoureux sains et saufs. Mais l'étrange ambiance du navire l'inquiète, surtout lorsque, plus tard, l'équipage vient au secours d'un naufragé en qui il se reconnaît

L’AVIS DE MEDIAFILM

A l'évidence, ce film tient une place particulière dans la cinématographie québécoise peu habituée à aborder de tels thèmes sur un ton aussi énigmatique. Pour analyser des rapports père-fille, le choix d'un traitement onirique se révèle certes une idée originale et judicieuse, malheureusement la mise en scène parfois hésitante s'encombre de trop nombreux clichés qui ne réussissent guère à rendre l'aspect fantastique réellement convaincant. De plus, le rythme est soutenu essentiellement par des effets sonores omniprésents et envahissants, alors que l'intrigue se perd dans une allégorie finalement assez convenue. Le jeu distancié des interprètes ajoute à la froideur de l'ensemble.

Texte : Christian Depoorter

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