Boulevard des rêves (Backstreet Dreams)

Name: Boulevard des rêves
Director: Rupert Hitzig
Genre: Mélodrame
Duration: 104 min.

É.-U. 1990. Mélodrame de Rupert Hitzig avec Jason O'Malley, Brooke Shields, Anthony Franciosa. Une étudiante en psychologie prodigue des soins à domicile à un enfant autistique dont le père fait partie de la mafia. Récit encombré de clichés. Mise en scène superficielle. Interprétation plutôt factice.

Boulevard des rêves (Backstreet Dreams)

13 ans +

É.-U. 1990. Mélodrame de Rupert Hitzig avec Jason O'Malley, Brooke Shields, Anthony Franciosa.

Une étudiante en psychologie prodigue des soins à domicile à un enfant autistique dont le père fait partie de la mafia. Récit encombré de clichés. Mise en scène superficielle. Interprétation plutôt factice.

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Genre :

Mélodrame

Année :

1990

Durée :

104 min.

Réalisation :

Rupert Hitzig

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Jason O'Malley
Brooke Shields
Anthony Franciosa

Marié à une femme frivole, Dean Costello exerce la fonction de "collecteur" pour un racket de protection dirigé par un certain Luca. Il est le père d'un jeune garçon, Shane, qui se met à manifester des symptômes d'autisme. Après un examen dans un hôpital de New York, une étudiante en psychologie, Stephanie Bloom, vient à domicile prodiguer à l'enfant des exercices susceptibles de le sortir de son état de réclusion psychique. L'épouse profite de l'occasion pour quitter le foyer et Stephanie en vient à s'intéresser autant au père qu'au fils. Après l'exécution d'un ami, Dean décide d'abandonner le milieu de la pègre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Suivant l'exemple de son aîné Sylvester "Rocky" Stallone, un jeune acteur peu connu s'est écrit sur mesure un scénario susceptible de mettre en valeur son talent particulier. Il ne risque pas cependant de connaître le succès de son prédécesseur tant son intrigue cultive les clichés de diverses sortes. L'orientation s'avère fortement mélodramatique et les conflits sentimentaux s'y résolvent avec une rapidité étonnante. La mise en scène est superficielle et seul le vétéran Anthony Franciosa arrive à tirer son épingle du jeu dans une interprétation d'ensemble des plus factices.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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