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Au chic Resto Pop

Can. 1990. Documentaire de Tahani Rached . Évocation des difficultés rencontrées par les employés d'un restaurant de Montréal où l'on sert des repas aux plus démunis. Propos honnête d'une simplicité touchante. Mise en scène parfois hésitante. Nombreux effets à répétition. Côté artificiel de certaines interventions. Protagonistes à l'aise. (sortie en salle: 28 août 1990)

Général
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Au chic Resto Pop (Au chic Resto Pop)

Général Général

Can. 1990. Documentaire de Tahani Rached .

Évocation des difficultés rencontrées par les employés d'un restaurant de Montréal où l'on sert des repas aux plus démunis. Propos honnête d'une simplicité touchante. Mise en scène parfois hésitante. Nombreux effets à répétition. Côté artificiel de certaines interventions. Protagonistes à l'aise. (sortie en salle: 28 août 1990)

Genre :
Année :
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Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
ONF
Producteurs :
Dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve de Montréal vit une population défavorisée dont la majorité des membres sont des bénéficiaires de l'assistance sociale. Annie Vidal et son équipe y gèrent un restaurant populaire, baptisé Resto Pop, qui offre des repas à des prix dérisoires aux plus démunis. Philippe le rockeur est chargé de recueillir auprès des grossistes et détaillants en alimentation tous les surplus qu'ils destinent à la poubelle. Grâce à cette nourriture sauvée du gaspillage, le Resto Pop contribue à subvenir aux besoins essentiels de nombreuses personnes. De plus, cette initiative a permis de créer plusieurs emplois permanents ou temporaires. Accompagnés par le musicien Steve Faulkner, dit Cassonade, les employés chantent, tour à tour, leurs expériences et leurs espoirs.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec une simplicité touchante, qu'accentue encore une grande sincérité dans l'évocation des difficultés rencontrées, la cinéaste d'origine égyptienne Tahani Rached décrit une réalité sociale des plus préoccupantes. Si le contenu est marqué par l'honnêteté des propos, on peut pourtant regretter un certain flou dans l'évocation du financement de l'entreprise. La mise en scène se fait parfois hésitante, usant de nombreux effets à répétition qui finissent malheureusement par lasser. Malgré le côté artificiel de certaines interventions, les protagonistes se révèlent assez à l'aise devant la caméra.

Texte : Christian Depoorter

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