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Arachnophobie (Arachnophobia)

É.-U. 1990. Drame d'horreur de Frank Marshall avec Jeff Daniels, Harley Jane Kozak, Julian Sands. Une araignée venimeuse se glisse dans le cercueil d'un explorateur décédé et atteint ainsi un village de Californie où elle fait des ravages. Intrigue aux ressorts éprouvés. Tension allégée par des touches d'humour. Moyens techniques efficaces. Interprétation convaincante.

13 ans +
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Arachnophobie (Arachnophobia)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1990. Drame d'horreur de Frank Marshall avec Jeff Daniels, Harley Jane Kozak, Julian Sands.

Une araignée venimeuse se glisse dans le cercueil d'un explorateur décédé et atteint ainsi un village de Californie où elle fait des ravages. Intrigue aux ressorts éprouvés. Tension allégée par des touches d'humour. Moyens techniques efficaces. Interprétation convaincante.

Genre :
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En voyage au Venezuela, un explorateur découvre une race jusqu'alors inconnue d'araignées venimeuses, dont l'un des spécimens tue un membre de l'expédition. L'animal trouve ensuite refuge dans le cercueil de sa victime, en route pour une petite localité de la Californie. En sol américain, l'arachnide s'accouple avec une araignée de jardin et s'ensuit la naissance de nombreux rejetons hautement virulents, qui sèment la mort dans la région. Un jeune docteur sonne l'alerte et obtient l'assistance d'un exterminateur flegmatique et d'un entomologiste pour lutter contre l'invasion.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Frank Marshall est un complice de Steven Spielberg, dont il a géré la production de nombreux films. Pour sa première réalisation, il s'attaque à un sujet réservé le plus souvent au cinéma de série B. Les ressorts de l'intrigue sont éprouvés et les moyens techniques mis en cause assurent à l'ensemble une indiscutable efficacité, même si la tension est fréquemment relâchée par des touches d'humour. La séquence finale, joliment réussie, devrait faire bonne figure dans les annales du genre. Les interprètes ont dans l'ensemble un jeu convaincu et John Goodman se fait remarquer par une composition pleine d'humour.

Texte : Martin Girard

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