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Alberto Express

Fr. 1990. Comédie fantaisiste de Arthur Joffé avec Sergio Castellitto, Nino Manfredi, Marco Messeri. Devant rembourser tous les frais qu'il a occasionnés à sa famille, un homme fauché tente de réunir la somme voulue à bord du train qui le mène à Rome chez son père. Suite de saynètes farfelues. Humour insolite. Traitement habile mêlant réalisme et onirisme. Interprétation convaincante de S. Castellitto.

Général
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Alberto Express (Alberto Express)

Général Général

Fr. 1990. Comédie fantaisiste de Arthur Joffé avec Sergio Castellitto, Nino Manfredi, Marco Messeri.

Devant rembourser tous les frais qu'il a occasionnés à sa famille, un homme fauché tente de réunir la somme voulue à bord du train qui le mène à Rome chez son père. Suite de saynètes farfelues. Humour insolite. Traitement habile mêlant réalisme et onirisme. Interprétation convaincante de S. Castellitto.

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Malofilm
A la fin de son adolescence, Alberto se voit expliquer par son père une bien étonnante coutume familiale. Le jour où il sera parent à son tour, il devra rembourser tous les frais qu'il a occasionnés à sa famille. Des années plus tard, alors que sa femme est sur le point d'accoucher et qu'il est complètement fauché, Alberto saute dans le premier train pour Rome, espérant convaincre son paternel de prolonger le délai. Durant tout le trajet, le jeune homme met à profit les diverses rencontres étranges qu'il fait pour tenter d'emprunter ou voler la somme due. Mais la malchance le poursuit jusqu'au moment où il croise ses ancêtres.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Constituée en fait d'une suite de saynètes farfelues, cette allégorie assez originale se présente comme un sympathique clin d'oeil à la comédie italienne de la belle époque. Nourri par de nombreuses touches d'un humour insolite, le récit se déroule presque exclusivement à bord d'un train sans pour autant donner l'impression d'un huis clos, tellement l'intrigue s'avère prenante et le montage bien serré. Mariant habilement réalisme et onirisme, le réalisateur a adopté une approche quasi-surréaliste pour évoquer en filigrane certaines désorientations et craintes contemporaines. Constamment ballotté entre la dérision et l'émotion, Sergio Castellitto compose un personnage stressé d'une drôlerie et d'une bizarrerie très convaincantes.

Texte : Christian Depoorter

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