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Pluie noire (Black Rain)

É.-U. 1989. Drame policier de Ridley Scott avec Michael Douglas, Andy Garcia, Ken Takakura. Deux policiers new-yorkais poursuivent dans la ville d'Osaka un criminel japonais qui leur a glissé d'entre les mains. Transposition originale dans un cadre japonais d'un thème conventionnel. Accent mis sur l'action et la violence. Réalisation brillante. Interprétation satisfaisante.

13 ans + (violence)
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Pluie noire (Black Rain)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1989. Drame policier de Ridley Scott avec Michael Douglas, Andy Garcia, Ken Takakura.

Deux policiers new-yorkais poursuivent dans la ville d'Osaka un criminel japonais qui leur a glissé d'entre les mains. Transposition originale dans un cadre japonais d'un thème conventionnel. Accent mis sur l'action et la violence. Réalisation brillante. Interprétation satisfaisante.

Genre :
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Montage :
Un policier new-yorkais, Nicky, et son partenaire, Charlie, sont témoins d'un double meurtre commis dans un restaurant par un dénommé Sato. Les deux policiers prennent l'assassin en chasse et l'appréhendent. Il appert que Sato est recherché par la police d'Osaka, qui demande son extradition. Nicky et Charlie sont chargés de livrer le criminel aux autorités nippones, mais celui-ci parvient à s'enfuir lorsqu'ils arrivent à Osaka. Les deux policiers s'engagent à aider leurs confrères japonais à rattraper le tueur et font équipe avec un policier nommé Masahiro. Mais sa marge de manoeuvre étant réduite, Nicky décide de mener sa propre enquête.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tant par certains éléments du récit que par la conception visuelle, ce film rappelle BLADE RUNNER que Ridley Scott a réalisé en 1982. Mais ici l'accent est nettement mis sur l'action et la violence. Le scénario n'est pas d'une très grande originalité, mais le cadre japonais du récit confère une certaine nouveauté aux conventions du genre. La mise en scène est d'un brio incontestable: les images sont denses et composées avec une précision parfois étonnante. L'interprétation est dans l'ensemble plus que satisfaisante, bien que les personnages soient un peu superficiels.

Texte : Martin Girard

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