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Moi et Mama Mia (Mig og Mama Mia)

1989. Comédie dramatique de Erik Clausen avec Christina Haagensen, Michael Falch, Leif Sylvester Petersen. Une fillette qui vit seule avec son père dans un quartier pauvre de Copenhague gagne un poney à un concours. Histoire dotée d'une certaine fraîcheur. Préambule excessivement long. Personnages attachants. Réalisation impersonnelle. Jeu pittoresque des interprètes.

Général
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Moi et Mama Mia (Mig og Mama Mia)

Général Général

1989. Comédie dramatique de Erik Clausen avec Christina Haagensen, Michael Falch, Leif Sylvester Petersen.

Une fillette qui vit seule avec son père dans un quartier pauvre de Copenhague gagne un poney à un concours. Histoire dotée d'une certaine fraîcheur. Préambule excessivement long. Personnages attachants. Réalisation impersonnelle. Jeu pittoresque des interprètes.

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Crépuscule
La petite Rikke vit avec son père dans un quartier pauvre de Copenhague. Laissée à elle-même, la fillette rêve de chevaux et s'ennuie de sa défunte mère. Ayant gagné un poney à un concours organisé par un fabricant de céréales, elle installe l'animal dans l'appartement familial. Evidemment, le soir en rentrant, son père surpris refuse ce nouveau compagnon. Heureusement, les amis du quartier viennent à la rescousse. Après avoir hébergé l'animal dans un vieil hangar, un paddock est construit dans le terrain vague adjacent et Ludwig le clochard s'improvise palefrenier. Un jour, lors d'une épreuve hippique, Rikke fait la connaissance d'une fille un peu triste qui se révèle être l'ancienne propriétaire du poney.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette histoire bien simple possède une certaine dose de fraîcheur qui provient sans doute du fait qu'elle ne met en scène aucun "méchant". On peut reprocher au film un préambule excessivement long qui ne débouche finalement que sur une intrigue sans surprise, ni rebondissement. Néanmoins, par leur jeu pittoresque et sympathique, les interprètes parviennent à rendre attachant ce petit monde marginal en proie à des difficultés quotidiennes bien concrètes. L'aspect poétique de certaines séquences n'est malheureusement pas mis en valeur dans une réalisation par ailleurs assez impersonnelle. De plus, il est regrettable que le doublage ne soit pas à la hauteur.

Texte : Christian Depoorter

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