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Mes copains américains (American Boyfriends)

Can. 1989. Comédie dramatique de Sandy Wilson avec Margaret Langrick, Liisa Ropo Martell, Jason Blicker. Une étudiante canadienne se sert de la Cadillac qu'elle a reçue de son cousin lors du mariage de celui-ci pour se rendre en Californie. Suite d'anecdotes d'un intérêt mitigé et sans véritable cohésion. Mise en scène appliquée. Évocation d'époque soignée. Interprétation sympathique.

Général
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Mes copains américains (American Boyfriends)

Général Général

Can. 1989. Comédie dramatique de Sandy Wilson avec Margaret Langrick, Liisa Ropo Martell, Jason Blicker.

Une étudiante canadienne se sert de la Cadillac qu'elle a reçue de son cousin lors du mariage de celui-ci pour se rendre en Californie. Suite d'anecdotes d'un intérêt mitigé et sans véritable cohésion. Mise en scène appliquée. Évocation d'époque soignée. Interprétation sympathique.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Quand elle avait treize ans, Sandy Wilcox avait vu son été égayé par la visite de son cousin américain Butch au ranch de ses parents en Colombie britannique. Cinq ans plus tard, alors qu'elle étudie à l'université, elle apprend que Butch va se marier à Portland, en Oregon, et décide de se rendre au mariage avec trois amies. Après la cérémonie, Butch fait don à Sandy de la Cadillac rouge qui l'avait tant impressionnée cet été-là. La jeune fille décide de s'en servir pour un voyage en Californie avec une copine, espérant y rencontrer des adonis musclés sur les plages. Elle est plutôt déçue de ce côté et a la surprise d'apprendre que Butch est mort dans un accident.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sandy Wilson a attiré l'attention il y a quelques années avec son premier film MY AMERICAN COUSIN où elle transposait avec une ironie amusée quelques souvenirs personnels. Elle a tenté de renouveler l'opération avec une deuxième portion de réminiscences où malheureusement la mayonnaise ne prend pas. On reste avec une suite d'anecdotes d'un intérêt mitigé et sans véritable cohésion. La mise en scène est pourtant appliquée, l'évocation d'époque assez soignée et l'interprétation sympathique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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