Go to main content
5

Les Requins de la finance (Dealers)

G.-B. 1989. Drame de moeurs de Colin Bucksey avec Paul McGann, Rebecca De Mornay, Derrick O'Connor. Un courtier londonien ambitieux supporte mal la nomination d'une Américaine au poste qu'il convoitait. Peinture plus artificielle qu'instructive des milieux financiers. Romance pas très convaincante. Illustration tape-à-l'oeil. Montage sophistiqué. Interprétation consciencieuse mais dénuée d'enthousiasme.

En attente de classement
5

Les Requins de la finance (Dealers)

En attente de classement En attente de classement

G.-B. 1989. Drame de moeurs de Colin Bucksey avec Paul McGann, Rebecca De Mornay, Derrick O'Connor.

Un courtier londonien ambitieux supporte mal la nomination d'une Américaine au poste qu'il convoitait. Peinture plus artificielle qu'instructive des milieux financiers. Romance pas très convaincante. Illustration tape-à-l'oeil. Montage sophistiqué. Interprétation consciencieuse mais dénuée d'enthousiasme.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Cineplex-Odeon
Un courtier à l'emploi d'une banque londonienne se suicide après des négociations imprudentes qui ont fait perdre une somme importante à ses employeurs. Le directeur des opérations de courtage propose de nommer à sa place le jeune et ambitieux Daniel Pascoe. Mais ses collègues préfèrent engager une jeune Américaine, Anna Schuman, qui a fait montre ailleurs d'une bonne connaissance du marché financier. Pascoe, qui a des goûts de luxe assez marqués, supporte assez mal cette nomination et fait grise mine à la nouvelle venue qui de son côté se montre fort indépendante. Certaines transactions obligent cependant les deux rivaux à travailler de concert et ils en viennent à s'apprécier l'un l'autre sur divers plans.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Marchant sur les brisées de WALL STREET, ce film semble vouloir révéler les arcanes des grandes entreprises financières tout en dorant la pilule avec une intrigue sentimentale. Mais les révélations sur les opérations de courtage restent assez confuses et la romance n'est pas très convaincante. Le réalisateur tente de compenser par une illustration tape-à-l'oeil et par un montage sophistiqué. Tout cela apparaît plus artificiel qu'instructif et l'interprétation reste dans les limites d'un travail consciencieux mais dénué d'enthousiasme.

Texte : Robert-Claude Bérubé

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3