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Les Nuits de Harlem (Harlem Nights)

É.-U. 1989. Comédie dramatique de Eddie Murphy avec Eddie Murphy, Richard Pryor, Danny Aiello. Les tribulations du fils adoptif du propriétaire d'un club de nuit clandestin à la fin des années 1930. Scénario peu cohérent. Illustration soignée. Réalisation inégale. Interprétation enjouée de R. Pryor.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Les Nuits de Harlem (Harlem Nights)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1989. Comédie dramatique de Eddie Murphy avec Eddie Murphy, Richard Pryor, Danny Aiello.

Les tribulations du fils adoptif du propriétaire d'un club de nuit clandestin à la fin des années 1930. Scénario peu cohérent. Illustration soignée. Réalisation inégale. Interprétation enjouée de R. Pryor.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Paramount
En 1918, Sugar Ray fait la rencontre de son futur fils adoptif, Quick, un enfant qui fait déjà montre d'un sens très personnel de la justice. Vingt ans plus tard, en pleine prohibition, ils dirigent sous couvert d'une boutique de bonbons, un club de nuit où le jeu et la prostitution attirent les plus fortunés de Harlem. Parmi eux, il y a le propriétaire d'une boîte rivale, Tommy Smalls et une certaine Dominique LaRue. Celle-ci, consciente de l'effet que son charme personnel produit sur Quick, lui tend un guet-apens pour le compte du gangster Bugsy Calhoune qui veut s'emparer de la boîte de Sugar Ray avec l'aide d'un policier véreux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Vu son manque d'expérience comme auteur de film, Eddie Murphy n'a pas su garder la distance nécessaire à la cohérence d'un scénario dans son ensemble. Il s'est trop concentré sur chacune des scènes qui ne sont souvent qu'un prétexte à l'exécution de numéros d'acteurs inégalement réussis. Si la photographie est belle, un peu trop peut-être, le rythme inégal provoque par moments une baisse d'intérêt. Il faut noter cependant que Murphy a su laisser une large place aux autres comédiens, en particulier à Richard Pryor dont le visage expressif ravit davantage que le rire désormais célèbre du comédien devenu réalisateur.

Texte : Sylvie Beaupré

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