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Laura Laur

Can. 1989. Drame psychologique de Brigitte Sauriol avec Paula de Vasconcelos, André Lacoste, Dominique Briand. Un quinquagénaire fait la connaissance d'une jeune femme impulsive et fuyante qui trouble son existence en devenant sa maîtresse. Récit mal construit et artificiel tiré d'un roman de Suzanne Jacob. Mise en scène appliquée. Interprétation plutôt morne.

18 ans +
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Laura Laur (Laura Laur)

18 ans + 18 ans +

Can. 1989. Drame psychologique de Brigitte Sauriol avec Paula de Vasconcelos, André Lacoste, Dominique Briand.

Un quinquagénaire fait la connaissance d'une jeune femme impulsive et fuyante qui trouble son existence en devenant sa maîtresse. Récit mal construit et artificiel tiré d'un roman de Suzanne Jacob. Mise en scène appliquée. Interprétation plutôt morne.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Brigitte Sauriol
D'après le roman de Suzanne Jacob
Photographie :
Musique :
Montage :
Un homme d'affaires dans la cinquantaine, Gilles Fèvre, fait inopinément la connaissance d'une jeune femme, Laura Laur, qui devient sa maîtresse. Impulsive et fuyante, Laura fixe elle-même des rendez-vous à son amant et n'admet pas d'hésitation, quitte à le laisser sans nouvelles d'elle pendant de longs moments. Décontenancé, Gilles se confie à sa femme, Agnès, qui fait du travail d'assistance sociale. Il découvre une photo de Laura dans la vitrine d'un photographe et celui-ci évoque sa vie commune avec ce modèle déconcertant. Invité à dîner chez un collègue d'Agnès, Gilles apprend que celui-ci est le frère de Laura.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il est possible que le personnage de Laura Laur ait eu une certaine consistance dans les pages du roman de Suzanne Jacob, mais à l'écran il n'apparaît guère que comme un stéréotype: la jeune femme rebelle, à la fois vivifiante et troublante. Un récit disjoint met en parallèle les rencontres de Laura avec son amant et les révélations du frère de la jeune femme à un psychiatre sur l'enfance de sa soeur. Le résultat se révèle artificiel malgré les efforts de la cinéaste pour établir une certaine cohésion entre des éléments disparates. La mise en scène ne dépasse pas le niveau d'un travail appliqué et l'interprétation d'ensemble se révèle plutôt morne.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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