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La Mouche II (The Fly II)

É.-U. 1989. Science-fiction de Chris Walas avec Eric Stoltz, Daphne Zuniga, Lee Richardson. Se transformant progressivement en mouche, le fils d'un savant victime de ses propres expériences tente d'arrêter cette métamorphose à l'aide de l'appareil de son père. Suite peu inventive d'un classique du genre. Progression dramatique faible. Trucages habiles. Interprétation d'ensemble plutôt stéréotypée.

13 ans + (horreur)
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La Mouche II (The Fly II)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 1989. Science-fiction de Chris Walas avec Eric Stoltz, Daphne Zuniga, Lee Richardson.

Se transformant progressivement en mouche, le fils d'un savant victime de ses propres expériences tente d'arrêter cette métamorphose à l'aide de l'appareil de son père. Suite peu inventive d'un classique du genre. Progression dramatique faible. Trucages habiles. Interprétation d'ensemble plutôt stéréotypée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Fox Searchlight
Martin Brundle est le fils posthume d'un savant victime de ses propres expériences avec un "téléporteur" de son invention. Né à la façon d'un insecte, Martin est doté d'une puissante intelligence et soumis à un processus de croissance rapide qui fait de lui un adulte à l'âge de cinq ans. Il a grandi dans les laboratoires d'un institut de recherches dirigé par un riche industriel, Bartok. Martin s'éprend d'une laborantine mais s'aperçoit que sa structure moléculaire se transforme pour faire de lui une mouche géante. Il croit pouvoir arrêter cette métamorphose à l'aide de l'appareil de son père, mais les événements se précipitent.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Faisant suite au remake assez original, par David Cronenberg, d'un vieux film de science-fiction, cette nouvelle fantasmagorie retrouve vite les sentiers battus du cinéma d'horreur. Responsable des trucages dans le film précédent, Walas est passé à la réalisation en restant uniquement préoccupé de fabrications et de trompe-l'oeil. Il s'y montre d'ailleurs assez habile à l'occasion, mais son sens de la progression dramatique laisse à désirer. Eric Stoltz fait montre d'efforts notables dans une interprétation d'ensemble plutôt stéréotypée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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