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Journaliste radioactif (Revenge of the Radioactive Reporter)

Can. 1989. Drame d'horreur de Craig Pryce avec David Scammell, Kathryn Boese, Derrick Strange. Un journaliste horriblement défiguré après avoir été précipité dans des déchets radioactifs se transforme en justicier. Histoire d'un simplisme consternant. Humour grossier. Réalisation maladroite. Interprétation atroce.

13 ans +
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Journaliste radioactif (Revenge of the Radioactive Reporter)

13 ans + 13 ans +

Can. 1989. Drame d'horreur de Craig Pryce avec David Scammell, Kathryn Boese, Derrick Strange.

Un journaliste horriblement défiguré après avoir été précipité dans des déchets radioactifs se transforme en justicier. Histoire d'un simplisme consternant. Humour grossier. Réalisation maladroite. Interprétation atroce.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
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Distributeur :
Astral
Parce qu'il menace de révéler des fuites dans une usine nucléaire appartenant à une entreprise privée, le journaliste Mike Wave est précipité dans une cuve de déchets radioactifs par le président de la compagnie, Richard Swell. Il survit pourtant à l'expérience, mais il est horriblement défiguré et son toucher provoque des brûlures mortelles. Pendant que sa fiancée Richelle et son jeune frère Joe, qui le croient mort, poursuivent une enquête sur les circonstances de sa disparition, Wave se transforme en justicier et traque les membres du conseil d'administration avant de s'en prendre à Swell et à un officier de police qui s'est acoquiné à lui. Pour assurer ses arrières, Swell n'hésite pas à tendre un piège à Richelle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec son justicier ravagé et ses adversaires bien cruels, ce film ne dépasse guère le niveau d'une bande dessinée grotesque. Les personnages censément sympathiques se jettent pratiquement dans la gueule du loup à tout instant et les méchants grimacent à qui mieux mieux. Tout cela apparaît d'une conception simpliste et d'une exécution maladroite, malgré les touches d'un humour grossier qui tentent de donner à l'ensemble l'allure d'une parodie. Les interprètes ont un jeu particulièrement atroce, avec ou sans maquillage.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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