É.-U. 1989. Aventures de Steven Spielberg avec Harrison Ford, Sean Connery, Allison Doody. En 1938, un archéologue aventurier tente de retrouver son père retenu prisonnier en Europe. Troisième volet d'une série. Intrigue ressemblant de près à celle du premier chapitre. Technique maîtrisée. Mise en scène ressassée. Jeu désinvolte des acteurs.
En 1938, un archéologue aventurier tente de retrouver son père retenu prisonnier en Europe. Troisième volet d'une série. Intrigue ressemblant de près à celle du premier chapitre. Technique maîtrisée. Mise en scène ressassée. Jeu désinvolte des acteurs.
Ce troisième épisode des aventures d'Indiana Jones commence par un prologue évoquant l'adolescence du héros, déjà fort téméraire. L'addition par la suite dans le récit du père d'Indiana, savoureusement campé par Sean Connery, entretient un ton d'humour intéressant dans la narration de diverses escapades. Sur le plan dramatique, l'intrigue ressemble de près à celle du premier chapitre, RAIDERS OF THE LOST ARK, et si la technique de Steven Spielberg est toujours aussi précise, on peut dénoter une légère perte d'enthousiasme et de nouveauté dans le rythme et l'invention. L'ensemble reste enlevé et divertissant et les acteurs ont le ton désinvolte qui convient.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Sans atteindre l'invention du premier film, THE LAST CRUSADE amuse de bout en bout. Le suspense y est (à la Hitchcock par moments), les cascades, l'action et l'humour aussi. La chimie entre Sean Connery et Harrison Ford ne peut que ravir.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Loïc Sirois, Saint-Jean-sur-Richelieu
La critique du 12 juin, est de moi.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Loïc Sirois, Saint-Jean-sur-Richelieu
Suite à un second épisode en demi-teinte, INIANA JONES AND THE LAST CRUSADE vient s’imposer comme la digne suite du premier long-métrage de la saga. L’histoire et l’intrigue, bien que semblable à RAIDERS OF THE LOST ARK, s’avère très bien rythmé et maîtrisé. Le metteur en scène apporte un côté film d’espionnage de part l’intrigue instaurée autour du personnage de Sean Connery, qui vole également la vedette à Ford. L’humour, qui autant mise en avant que dans le dernier opus, est cette fois ci, utiliser avec plus de subtilité. Le film débute sur les chapeaux de roues en nous montrant un Jones adolescent en 1912. Ce prologue procure de très beaux moments grâce à l’amusante prestation de River Phoenix. Supérieur à THE TEMPLE OF DOOM, se troisième volet est un très bon divertissement d’aventure proche de l’excellence du premier film.
J'attribue à ce film la Cote