How to Get Ahead in Advertising

Name: How to Get Ahead in Advertising
Director: Bruce Robinson
Genre: Comédie satirique
Duration: 95 min.

G.-B. 1989. Comédie satirique de Bruce Robinson avec Richard E. Grant, Rachel Ward, Richard Wilson. Obsédé par ses préoccupations professionnelles, un publicitaire s'imagine que l'anthrax qu'il a au cou prend la forme d'une tête qui discute avec lui. Eloge joyeusement cynique de la publicité. Tournure fantaisiste assez savoureuse. Quelques passages un peu trop soulignés. Interprétation énergique.

How to Get Ahead in Advertising (How to Get Ahead in Advertising)

Général

G.-B. 1989. Comédie satirique de Bruce Robinson avec Richard E. Grant, Rachel Ward, Richard Wilson.

Obsédé par ses préoccupations professionnelles, un publicitaire s'imagine que l'anthrax qu'il a au cou prend la forme d'une tête qui discute avec lui. Eloge joyeusement cynique de la publicité. Tournure fantaisiste assez savoureuse. Quelques passages un peu trop soulignés. Interprétation énergique.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1989

Durée :

95 min.

Réalisation :

Bruce Robinson

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Richard E. Grant
Rachel Ward
Richard Wilson

Un as de la publicité, Bagley, se trouve en panne d'imagination lorsqu'il s'agit d'organiser une campagne pour une nouvelle crème contre les furoncles. Obsédé par ses préoccupations professionnelles, il développe lui-même un anthrax au cou. il croit même voir cette excroissance prendre la forme d'une tête qui discute avec lui. La femme de Bagley, Julia, s'efforce d'accepter la situation avec patience et finit par convaincre son mari de se confier à un psychiatre. Mais, une fois à l'hôpital, le jeune homme s'imagine que la tête parasitaire prend la place de la vraie pour mieux affirmer les tendances cyniques de son caractère.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le film commence avec alacrité par un éloge joyeusement cynique de la publicité prononcé par le héros. Il prend ensuite une tournure fantaisiste assez savoureuse avec l'apparition de la tête parlante qu'on peut croire imaginaire ou pas. Le réalisateur Bruce Robinson, qui s'est fait connaître par WITHNAIL AND I, a tendance à souligner un peu trop son thème en finale, mais le résultat d'ensemble n'en apparaît pas moins savoureux et inventif. Richard E. Grant tient la vedette avec l'énergie comique voulue alors que Rachel Ward et Richard Wilson lui servent de faire-valoir avec un flegme approprié.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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