Vice Versa

Name: Vice Versa
Director: Brian Gilbert
Genre: Comédie fantaisiste
Duration: 97 min.

É.-U. 1988. Comédie fantaisiste de Brian Gilbert avec Judge Reinhold, Fred Savage, Corinne Bohrer. Par l'action d'un crâne doté de pouvoirs mystérieux, la personnalité d'un garçon de onze ans se retrouve dans le corps de son père et vice versa. Variations inventives sur un thème connu. Intrigue aux méandres drolatiques. Interprétation convaincante.

Vice Versa (Vice Versa)

Général

É.-U. 1988. Comédie fantaisiste de Brian Gilbert avec Judge Reinhold, Fred Savage, Corinne Bohrer.

Par l'action d'un crâne doté de pouvoirs mystérieux, la personnalité d'un garçon de onze ans se retrouve dans le corps de son père et vice versa. Variations inventives sur un thème connu. Intrigue aux méandres drolatiques. Interprétation convaincante.

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Genre :

Comédie fantaisiste

Année :

1988

Durée :

97 min.

Réalisation :

Brian Gilbert

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Judge Reinhold
Fred Savage
Corinne Bohrer

Cadre dans un grand magasin de Chicago, Marshall est rentré d'un voyage d'achat en Thaïlande en rapportant à son insu dans ses bagages un crâne sacré doté de pouvoirs mystérieux. Divorcé, il doit s'occuper quelques jours de son fils de onze ans, Charlie, quand il se produit un incident fantastique: par l'action du crâne, la personnalité de Marshall se retrouve dans le corps de Charlie et vice versa. En attendant de pouvoir contrer les effets de ce sort, l'homme et l'enfant doivent s'accommoder du renversement de situations. Quand des contrebandiers s'emparent du crâne, père et fils se lancent à leur poursuite.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette comédie a le malheur de sortir peu de temps après un autre film au thème semblable, LIKE FATHER LIKE SON, ce qui lui donne un certain air de déjà-vu. La situation y est pourtant traitée avec plus d'invention et plus de finesse que dans la production précédente. Tels que dessinés par leurs interprètes, les personnages apparaissent presque plausibles dans leur transformation et dans les réactions qui s'ensuivent. Bien que la fin soit assez prévisible, on éprouve un certain plaisir à s'y rendre à travers les méandres drolatiques de l'intrigue.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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