Twisted Obsession (El Mono Loco)

Name: Twisted Obsession
Director: Fernando Trueba
Genre: Drame psychologique
Duration: 103 min.

Esp. 1988. Drame psychologique de Fernando Trueba avec Jeff Goldblum, Miranda Richardson, Liza Walker. Un scénariste voit sa vie bouleversée après avoir accepté d'adapter un roman qu'il a jadis écrit sous un nom d'emprunt. Enchevêtrement machiavélique de coïncidences troublantes. Climat onirique. Réalisation stylisée. Interprétation d'ensemble quelque peu apathique.

Twisted Obsession (El Mono Loco)

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Esp. 1988. Drame psychologique de Fernando Trueba avec Jeff Goldblum, Miranda Richardson, Liza Walker.

Un scénariste voit sa vie bouleversée après avoir accepté d'adapter un roman qu'il a jadis écrit sous un nom d'emprunt. Enchevêtrement machiavélique de coïncidences troublantes. Climat onirique. Réalisation stylisée. Interprétation d'ensemble quelque peu apathique.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1988

Durée :

103 min.

Réalisation :

Fernando Trueba

Pays :

Espagne

Distributeur :

MCA Video

Interprètes :

Jeff Goldblum
Miranda Richardson
Liza Walker

Peu de temps après le départ de son épouse, le scénariste Dan Gillis est approché par un jeune metteur en scène qui veut lui faire adapter un roman peu connu. Etrangement, il s'agit d'un livre que Dan a jadis écrit sous un nom d'emprunt, une version existentielle de "Peter Pan". Lorsque des problèmes d'ordre créatif surviennent entre les deux hommes, l'écrivain veut abandonner le projet, mais change d'avis quand la soeur du cinéaste entreprend de le séduire. Dès lors, sa vie se voit bouleversée et ses relations avec son entourage deviennent tendues.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les auteurs de TWISTED OBSESSION ont concocté une oeuvre au parfum d'insolite qui explore la frontière entre la fiction et la réalité. L'intrigue repose assez habilement sur l'enchevêtrement machiavélique de coïncidences troublantes où suinte la perversion. Le climat onirique et la stylisation de la réalisation servent bien le propos du film mais sacrifient peut-être un peu trop l'émotion des personnages. Jeff Goldblum joue avec conviction mais le reste de la distribution affecte un jeu convenu et quelque peu apathique.

Texte : Johanne Larue

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