The Dressmaker

Name: Dressmaker, The
Director: Jim O'Brien
Genre: Drame de moeurs
Duration: 90 min.

G.-B. 1988. Drame de moeurs de Jim O'Brien avec Joan Plowright, Billie Whitelaw, Jane Horrocks. En 1944, les tribulations sentimentales d'un militaire américain avec une jeune fille timide de Liverpool fort attachée aux apparences de respectabilité. Analyse intéressante de conflits de mentalités. Mise en scène de métier. Bonne performance des acteurs.

The Dressmaker (The Dressmaker)

Général

G.-B. 1988. Drame de moeurs de Jim O'Brien avec Joan Plowright, Billie Whitelaw, Jane Horrocks.

En 1944, les tribulations sentimentales d'un militaire américain avec une jeune fille timide de Liverpool fort attachée aux apparences de respectabilité. Analyse intéressante de conflits de mentalités. Mise en scène de métier. Bonne performance des acteurs.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1988

Durée :

90 min.

Réalisation :

Jim O'Brien

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Cinesque

Interprètes :

Joan Plowright
Billie Whitelaw
Jane Horrocks

En 1944, à Liverpool, une jeune fille timide, Rita, 17 ans, vit avec ses deux tantes: Nellie, une couturière hors pair, célibataire à la morale stricte, et Margo, une bonne vivante, veuve qui souhaite pour sa nièce le bonheur qui lui a échappé. Sa rencontre avec Wesley, un séduisant militaire américain aux allures timides, plonge Rita dans le désespoir. Bien qu'attirée par Wesley, elle est incapable d'accepter ses avances. Alors que Nellie approuve le puritanisme de sa nièce, Margo lui conseille de céder un peu à Wesley. Celui-ci paiera un peu cher la sauvegarde des apparences de sobriété et de respectabilité de la famille anglaise.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette adaptation est moins une description de la société anglaise de l'époque qu'une analyse des inévitables conflits occasionnés par la rencontre de deux êtres aux mentalités très différentes. Co-réalisateur de la mini-série "The Jewel in the Crown", Jim O'Brien signe ici un petit film qu'il sera très agréable de voir à la télévision. Sa préférence pour les plans moyens et les plans rapprochés ainsi que l'exiguïté des décors permettent de bien sentir les frayeurs de ces femmes. Cela amène aussi le spectateur à observer davantage les excellentes performances des acteurs qui ont tous une solide formation théâtrale.

Texte : Sylvie Beaupré

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