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State Park

Can. 1988. Comédie de Rafal Zielinski avec Kim Myers, Isabelle Mejias, James Wilder. Chassées du parc national où elles campaient, trois amies trouvent refuge dans une demeure voisine dont le propriétaire combat les menées expansionnistes d'un industriel retors. Scénario simpliste et bourré de clichés conçu pour le public adolescent. Nombreuses plaisanteries faciles. Conception des personnages ne dépassant pas l'ébauche. Mise en scène sans aucune rigueur artistique. Interprétation quelconque.

Général
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State Park (State Park)

Général Général

Can. 1988. Comédie de Rafal Zielinski avec Kim Myers, Isabelle Mejias, James Wilder.

Chassées du parc national où elles campaient, trois amies trouvent refuge dans une demeure voisine dont le propriétaire combat les menées expansionnistes d'un industriel retors. Scénario simpliste et bourré de clichés conçu pour le public adolescent. Nombreuses plaisanteries faciles. Conception des personnages ne dépassant pas l'ébauche. Mise en scène sans aucune rigueur artistique. Interprétation quelconque.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Astral
Trois amies, Eve, Marsha et Linnie, se rendent au parc national Weewankah pour y faire du camping. Eve a pour ambition particulière de participer à une épreuve sportive diversifiée qui s'y tient chaque année et dont le prix lui permettrait de poursuivre des études universitaires. Les jeunes filles sont chassées du site sans raison valable par un gardien aussi autoritaire que stupide. Elles trouvent refuge sur une propriété voisine appartenant à Truckie Honeycutt qui combat les menées expansionnistes d'un industriel retors, Rancewell, qui domine la région. Eve aura besoin de l'aide de Truckie pour se préparer au concours et le secondera en retour dans sa lutte contre Rancewell.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Conçu en termes simplistes, le scénario prétend défendre des convictions écologistes tout en sacrifiant à divers clichés des films conçus pour un public d'adolescents frétillants. La mise en scène ne fait montre d'aucune rigueur artistique ou dramatique en illustrant des plaisanteries faciles ou des confrontations grotesques. La conception des personnages ne dépasse guère le niveau de l'ébauche que pour donner dans des effets caricaturaux. Tout cela ne vaut pas tripette et l'interprétation ne rachète rien, même si les interprètes féminines ne manquent pas d'un certain charme.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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