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Shootdown

É.-U. 1988. Drame de Michael Pressman avec Angela Lansbury, George Coe, Kyle Secor. Une mère de famille tente de découvrir la vérité qui se cache derrière la destruction d'un avion de ligne coréen par l'aviation soviétique. Récit basé sur des faits réels. Développements confus. Réalisation acceptable. Bonne interprétation d'A. Lansbury. Téléfilm.

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Shootdown (Shootdown)

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É.-U. 1988. Drame de Michael Pressman avec Angela Lansbury, George Coe, Kyle Secor.

Une mère de famille tente de découvrir la vérité qui se cache derrière la destruction d'un avion de ligne coréen par l'aviation soviétique. Récit basé sur des faits réels. Développements confus. Réalisation acceptable. Bonne interprétation d'A. Lansbury. Téléfilm.

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CinémaPlus
Le 1er septembre 1983, un avion des lignes régulières coréennes est abattu au-dessus du territoire soviétique et l'incident fait 269 victimes. Parmi celles-ci se trouve John, le fils de Nan Moore, une employée du gouvernement américain qui s'attend à ce que ses supérieurs réagissent vigoureusement face à cette agression. Mais petit à petit, elle en vient à suspecter les services secrets de son pays de s'être servis de cet avion, à l'insu de tous, pour tester les mécanismes de défense soviétiques. Ne pouvant supporter l'idée que son fils soit mort dans de telles circonstances, Nan, avec l'aide d'autres parents et amis des victimes, se bat pour qu'une enquête du Congrès soit menée qui fasse éclater toute la vérité.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inscrivant dans la grande tradition américaine des téléfilms basés sur des faits plus ou moins réels, ce long métrage, signé par un habitué du genre, n'en dépasse malheureusement pas les limites. Une dramatisation quelque peu forcée et un scénario par trop anecdotique rendent la croisade de cette mère de famille assez morne et confuse, d'autant plus qu'aucune conclusion convaincante ne vient éclairer cette affaire sous un jour nouveau. La souplesse de jeu dont fait preuve Angela Lansbury ne parvient pas toujours à dynamiser une mise en scène qui, bien qu'acceptable, reste souvent conventionnelle et statique.

Texte : Christian Depoorter

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