Shadow Dancing

Name: Shadow Dancing
Director: Lewis Furey
Genre: Drame musical
Duration: 105 min.

Can. 1988. Drame musical de Lewis Furey avec Nadine van der Velde, Christopher Plummer, James Kee. Au long des répétitions, une jeune danseuse est envahie par l'esprit d'une ballerine morte il y a 50 ans pendant une représentation du même ballet. Amalgame peu satisfaisant d'éléments dramatiques et musicaux. Intrigue tarabiscotée. Certains numéros de danse assez réussis. Interprétation inégale.

Shadow Dancing (Shadow Dancing)

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Can. 1988. Drame musical de Lewis Furey avec Nadine van der Velde, Christopher Plummer, James Kee.

Au long des répétitions, une jeune danseuse est envahie par l'esprit d'une ballerine morte il y a 50 ans pendant une représentation du même ballet. Amalgame peu satisfaisant d'éléments dramatiques et musicaux. Intrigue tarabiscotée. Certains numéros de danse assez réussis. Interprétation inégale.

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Genre :

Drame musical

Année :

1988

Durée :

105 min.

Réalisation :

Lewis Furey

Pays :

Canada

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Nadine van der Velde
Christopher Plummer
James Kee

Une jeune danseuse, Jessica, est tout heureuse d'avoir été engagée dans une troupe de ballet qui doit donner un spectacle dans un ancien théâtre nouvellement réaménagé. On doit y recréer un ballet qui y fut dansé cinquante ans auparavant par la danseuse vedette Lili La Nuit, morte mystérieusement pendant une représentation. Dans un logement attenant au théâtre vit le vieux propriétaire, Edmund Beaumont, qui eut jadis une liaison passionnée avec Lili. Au long des répétitions, Jessica est progressivement envahie par l'esprit de Lili qui a une vengeance à exercer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Rappelant tantôt FLASHDANCE, LE FANTÔME DE L'OPÉRA ou LES CHAUSSONS ROUGES, le deuxième film de Lewis Furey n'arrive pas à amalgamer de façon satisfaisante les éléments dramatiques et les aspects musicaux de son sujet. Certains numéros de danse sont assez réussis, mais l'intrigue apparaît tarabiscotée, malgré le soin mis à l'illustration. La danseuse Nadine Van der Velde n'a pas assez d'expérience comme actrice pour rendre valablement les deux aspects de son personnage et le talent certain de Plummer est sous-utilisé dans un rôle artificiel.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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