Remarquable

Le Scorpion rouge (Red Scorpion)

Name: Scorpion rouge, Le
Director: Joseph Zito
Genre: Drame d'espionnage
Duration: 102 min.

É.-U. 1988. Drame d'espionnage de Joseph Zito avec Dolph Lundgren, T.P. McKenna, Al White. Un lieutenant russe chargé d'assister un gouvernement africain soutenu par Cuba finit par se rallier à la cause des rebelles. Situation politique simplifiée à outrance. Accent mis sur des exploits guerriers à l'emporte-pièce. Un certain savoir-faire dans la mise en scène. Interprétation monolithique.

Le Scorpion rouge (Red Scorpion)

13 ans + (violence)

É.-U. 1988. Drame d'espionnage de Joseph Zito avec Dolph Lundgren, T.P. McKenna, Al White.

Un lieutenant russe chargé d'assister un gouvernement africain soutenu par Cuba finit par se rallier à la cause des rebelles. Situation politique simplifiée à outrance. Accent mis sur des exploits guerriers à l'emporte-pièce. Un certain savoir-faire dans la mise en scène. Interprétation monolithique.

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Genre :

Drame d'espionnage

Année :

1988

Durée :

102 min.

Réalisation :

Joseph Zito

Scénario :

Arne Olsen

Photographie :

Joao Fernandes

Musique :

Jay Chattaway

Montage :

Daniel Loewenthal

Pays :

États-Unis
Afrique du Sud

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Dolph Lundgren
T.P. McKenna
Al White
M. Emmet Walsh
Carmen Argenziano
Alex Colon
Brion James
Regopstaan
Ruben Nthodi

Nikolai, lieutenant dans les forces spéciales russes, est une véritable machine à tuer. Il reçoit pour mission de supprimer le chef de rebelles africains qui combattent un gouvernement soutenu par des troupes cubaines. Nikolai doit simuler la désertion et favoriser l'évasion d'un rebelle pour se faire admettre dans son camp. Mais il échoue et est sévèrement puni par ses supérieurs. Il s'enfuit dans le désert où il est recueilli par des "bushmen" dont il partage la vie un certain temps; après quoi il retourne au combat en prenant le parti de la rébellion.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le film est centré sur un colosse blond qu'on avait déjà opposé à Sylvester Stallone dans ROCKY IV. S'il a des muscles et des biceps d'une qualité évidente, l'homme ne se montre pas aussi pourvu sur le plan de l'interprétation dramatique. Le réalisateur ne s'en soucie guère d'ailleurs qui simplifie à outrance une situation politique contemporaine pour en faire la matière d'exploits guerriers et pugilistiques à l'emporte-pièce dans la lignée de RAMBO. Non dénuée d'un certain savoir-faire, la mise en scène se cantonne dans un style en coup de poing.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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