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Personne n'est parfait (Torch Song Trilogy)

É.-U. 1988. Comédie dramatique de Paul Bogart avec Harvey Fierstein, Anne Bancroft, Matthew Broderick. Les tribulations amoureuses tumultueuses d'un homosexuel new-yorkais qui recherche le grand amour. Évocation du milieu gai de New York. Origine théâtrale. Mise en scène peu inventive. Personnages manquant de nuances. Interprétation d'ensemble fort convenable.

13 ans +
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Personne n'est parfait (Torch Song Trilogy)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1988. Comédie dramatique de Paul Bogart avec Harvey Fierstein, Anne Bancroft, Matthew Broderick.

Les tribulations amoureuses tumultueuses d'un homosexuel new-yorkais qui recherche le grand amour. Évocation du milieu gai de New York. Origine théâtrale. Mise en scène peu inventive. Personnages manquant de nuances. Interprétation d'ensemble fort convenable.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Chantant en travesti dans une boîte de nuit de New York, Arnold Beckoff est homosexuel mais il évite les rencontres aventureuses et est à la recherche du grand amour. Il entame une liaison avec un garçon d'allure chic, Ed, mais celui-ci le quitte bientôt pour se mettre en ménage avec une jeune femme, Laurel. Quelques années plus tard, Arnold fait la rencontre d'Alan qui devient son compagnon de vie pendant plusieurs mois avant d'être tué dans une rixe. Par la suite, Arnold adopte un adolescent, David, et retrouve Ed qui a rompu avec Laurel. Il reçoit la visite de sa mère qui voudrait bien le voir se ranger.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette évocation du milieu gai de New York a connu un certain succès à la scène au début des années 1980 dans une version plus longue et plus abrupte. Chargé lui-même de l'adaptation du film et conservant le rôle principal, le dramaturge a arrondi les angles dans une démarche qui peut même paraître racoleuse par moments. Son personnage prend l'allure d'un grand incompris qui se défend par des remarques ironiques et les pratiques homosexuelles acquièrent presque une coloration idyllique en dépit de lamentations répétées. La mise en scène n'est pas particulièrement inventive et les personnages manquent de nuances. L'interprétation s'avère fort convenable dans l'ensemble.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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