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Maison de papier (Paperhouse)

G.-B. 1988. Drame fantastique de Bernard Rose avec Charlotte Burke, Glenne Headly, Elliott Spears. Lors d'expériences oniriques, une écolière croit pouvoir modifier le destin de ses compagnons de fantaisie. Intrigue intelligente sur les rapports entre rêve et réalité. Évocation subtile des tourments du passage de l'enfance à l'adolescence. Images éloquentes. Style expressionniste. Interprétation pleine de fraîcheur.

Général
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Maison de papier (Paperhouse)

Général Général

G.-B. 1988. Drame fantastique de Bernard Rose avec Charlotte Burke, Glenne Headly, Elliott Spears.

Lors d'expériences oniriques, une écolière croit pouvoir modifier le destin de ses compagnons de fantaisie. Intrigue intelligente sur les rapports entre rêve et réalité. Évocation subtile des tourments du passage de l'enfance à l'adolescence. Images éloquentes. Style expressionniste. Interprétation pleine de fraîcheur.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Matthew Jacobs
D'après le roman de Catherine Storr
Pays :
Distributeur :
Malofilm
Une écolière anglaise, Anna Madden, subit des évanouissements au cours desquels elle rêve à une étrange maison isolée sur une lande, d'après un dessin qu'elle a tracé sur son cahier. Malade, elle est en proie à une fièvre qui intensifie ses expériences oniriques. Elle se voit entrer dans la maison où elle trouve Marc, un garçon infirme. Elle croit pouvoir modifier le destin de son compagnon de fantaisie en ajoutant des détails à son dessin dans ses moments de lucidité. Mais elle n'arrive qu'à compliquer en pire la situation, surtout lorsqu'elle imagine d'ajouter au graphisme l'image de son père absent qui se transforme dans ses rêves en monstre vengeur. Anna identifie Marc à un jeune patient de la femme médecin qui la soigne et croit pouvoir influer sur sa maladie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'intrigue joue avec intelligence sur les rapports entre rêve et réalité tout en évoquant subtilement les tourments du passage de l'enfance à l'adolescence. Le réalisateur a trouvé des images éloquentes pour transmettre ces thèmes surtout dans la création de conceptions oniriques marquées par un style expressionniste.Une angoisse sourde alimente l'illustration sans que l'ensemble tombe jamais dans l'horreur gratuite. La jeune Charlotte Burke exprime avec fraîcheur les inquiétudes de la petite héroïne et Glenne Headly se montre convaincante dans le rôle de sa mère.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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