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Ne réveillez pas un flic qui dort

Fr. 1988. Drame policier de José Pinheiro avec Alain Delon, Michel Serrault, Patrick Catalifo. Un commissaire découvre qu'une société secrète d'extrême-droite composée de policiers est responsable d'assassinats de criminels restés impunis. Intrigue inutilement compliquée. Conclusion attendue. Mise en scène impersonnelle et mécanique. A. Delon fidèle à lui-même.

13 ans + (violence)
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Ne réveillez pas un flic qui dort (Ne réveillez pas un flic qui dort)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

Fr. 1988. Drame policier de José Pinheiro avec Alain Delon, Michel Serrault, Patrick Catalifo.

Un commissaire découvre qu'une société secrète d'extrême-droite composée de policiers est responsable d'assassinats de criminels restés impunis. Intrigue inutilement compliquée. Conclusion attendue. Mise en scène impersonnelle et mécanique. A. Delon fidèle à lui-même.

Des policiers ont formé une société secrète d'extrême-droite et s'arrogent le droit d'assassiner des criminels restés impunis. Trois meurtres de telle sorte ont lieu une même nuit et le commissaire Grindel est chargé de l'enquête. On lui assigne deux adjoints, Péret et Lutz, mais ce dernier fait justement partie de l'équipe de tueurs de l'association clandestine. Un collègue de Grindel, Scatti est le maître d'oeuvre des exécutions et, avec l'aide de Lutz, il s'efforce de nuire à l'enquête. Mais Grindel en vient à démasquer Lutz qui se suicide. Attiré dans un piège, Péret est abattu par Scatti. Grindel finit pourtant par triompher.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Auteur de films personnels assez intéressants, tels FAMILY ROCK et LES MOTS POUR LE DIRE, José Pinheiro semble perdre ses moyens lorsqu'il a à diriger Alain Delon comme il l'a déjà fait dans PAROLE DE FLIC. Sa mise en scène devient impersonnelle et mécanique et se contente de servir l'auto-suffisance de la vedette. Informé dès le début de l'identité des coupables, le spectateur doit se contenter de suivre les méandres d'une intrigue inutilement compliquée jusqu'à une conclusion attendue. Delon n'ajoute rien à sa gloire alors que Michel Serrault se permet, pour une fois, de jouer mal.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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