Masque noir, visage blanc (Blind Justice)

Name: Masque noir, visage blanc
Director: Terence Ryan
Genre: Drame social
Duration: 106 min.

G.-B. 1988. Drame social de Terence Ryan avec Christopher Cazenove, Edita Brychta, Patrick Shai. À la suite d'un accident, un ancien commissaire colonial se rappelle l'époque où il était en service en Rhodésie. Évocation nostalgique inspirée. Chronique riche et variée. Conclusion abrupte. Protagonistes dessinés en traits épurés. Jeu naturel des interprètes.

Masque noir, visage blanc (Blind Justice)

Général

G.-B. 1988. Drame social de Terence Ryan avec Christopher Cazenove, Edita Brychta, Patrick Shai.

À la suite d'un accident, un ancien commissaire colonial se rappelle l'époque où il était en service en Rhodésie. Évocation nostalgique inspirée. Chronique riche et variée. Conclusion abrupte. Protagonistes dessinés en traits épurés. Jeu naturel des interprètes.

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Genre :

Drame social

Année :

1988

Durée :

106 min.

Réalisation :

Terence Ryan

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Christopher Cazenove
Edita Brychta
Patrick Shai

A Londres, un soir de 1963, Joseph Mahoney est renversé par une voiture. Avant de s'évanouir, il se rappelle l'époque où il était commissaire colonial en Rhodésie. Il revoit les tribunaux de brousse qu'il présidait et les tribus qu'il a été obligé malgré lui de déplacer de leurs terres ancestrales. Il se souvient de son serviteur Samson, qui lui a sauvé la vie alors qu'il était la proie d'un crocodile. Tout en revenant à lui, Joseph prend la décision de retourner dans son Afrique natale. Malgré le plaisir de revoir Suzie, une amie qui a repris Samson à son service, il est déçu de découvrir que les rapports sociaux se sont fortement détériorés.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien inspiré dans son évocation nostalgique du temps de la colonisation, rendant à l'Afrique toute sa beauté picturale et à ses personnages une remarquable authenticité et une densité humaine fort appréciable, Terence Ryan s'est malheureusement quelque peu enferré par la suite, lorsqu'il s'est agi de décrire une situation sociale trouble. Il en résulte une chronique riche et variée qui souffre d'une conclusion tombant un peu abruptement après quelques longueurs. En dépit de ces malencontreuses ruptures de ton, les protagonistes sont dessinés en traits épurés mais précis et sont campés avec assurance par des interprètes au jeu naturel.

Texte : Christian Depoorter

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